vendredi 25 décembre 2015

Joyeux Noël 2

Tu n'as pas voulu m'offrir un sourire, alors tant pis, c'est moi qui te l'offre :

:)

Joyeux Noël.

jeudi 24 décembre 2015

Les fêtes sans toi

Je t'aime. Cette soirée de Noël, j'aurais voulu la passer avec toi. Tout comme la soirée du jour de l'an à venir encore.

Joyeux Noël

Passe un bon Noël mon amour. Je ne peux toujours pas t'offrir de cadeau car tu ne me laisses pas le faire, mais le cœur y est.

jeudi 17 décembre 2015

Mais comment te le dire ?

Et comment te le faire sentir ? Comment te faire sentir que le méchant c'est pas moi, que quand je te dis "je t'aime" c'est parce que je le ressens vraiment de tout mon être ? Toi...
Tu vois bien que ça me rend fou, ton absence, non ? Tu vois bien que je suis amoureux de toi... Je ne te veux pas de mal, moi, à la fin ! Tout ce que je veux, même si c'est beaucoup, c'est toi, c'est que tu sois là et que tu sois heureuse, et c'est vrai que je veux aussi te serrer contre moi, c'est vrai aussi que c'est avec toi que je voudrais découvrir les choses pour lesquelles j'attends la fille que j'aime, mais... C'est pas le plus important :/ Le plus important pour moi c'est juste que tu sois là Hélène... Je t'aime, moi... Je t'aime de tout mon cœur.

Je sais que je te l'ai déjà dit, mais est-ce que tu te souviens que ce cœur tu le trouvais joli et tu espérais que personne ne le briserait jamais ? Est-ce que tu as menti quand tu m'as dit ça ? C'est toi qui l'a brisé en mille morceaux, je sais que tu m'as dit que tu ne voulais pas être cette personne, mais si tu ne le voulais pas pourquoi tu l'es ?

Aide-moi, je t'en supplie, j'ai besoin de toi. Sans toi, ce monde est nul ><

JE T'AIME A LA FIN.

mardi 15 décembre 2015

Mots

Bien sûr que je t'aime. On ne reste pas ainsi aux pieds d'une fille qui nous ignore et nous déteste depuis un an si on ne l'aime pas réellement du fond du cœur, tu sais.

Je t'aime Hélène.

mercredi 9 décembre 2015

Les questions sans réponse de toi

Je vois tous ces gens amoureux, partout, qui sont malheureux. Pourquoi ça rend triste comme ça ? Pourquoi, mon amour, ça ne peut pas être juste simple ? Pourquoi quand on dit "je t'aime" à une personne et qu'on le ressent du fond du cœur cette personne ne peut pas tout simplement nous répondre "moi aussi", et qu'on soit juste heureux d'être amoureux ? Ca a vraiment un sens, tout ça, tout cet amour perdu ?

Mon cœur je n'en peux plus... Voilà 25 ans que je vis dans ce monde, sans toi... Je t'aime, je voudrais vraiment que tout soit différent, vraiment tout. Je ne veux pas être ici seul dans le noir à t'écrire en pleurant, je ne veux pas que tu m'ignores, que tu m'insultes et que tu me détestes, je ne veux pas que tu sois si loin et absente depuis si longtemps...

Je ne sais pas quoi faire. Je te promets que si je savais ce que je suis censé faire je le ferais, mais je le sais vraiment pas. Tous les jours, toutes les nuits tu me manques terriblement. Tout le temps mon cœur t'appelle et le monde me dit tout le temps que c'est toi, je ne sais pas comment j'ai pu faire tellement n'importe quoi avec toi qu'on en est arrivé dans cette situation absurde, je sais bien que j'ai fait n'importe quoi, je ne sais pas ce qu'il faut faire, moi... Je ne sais pas ce qu'il faut faire pour te donner envie d'autre chose que de partir.

Je t'aime Hélène.

mardi 1 décembre 2015

Les mots qu'on ne dit plus

Coucou.

"Coucou"... Même ça je n'ai plus l'impression d'avoir le droit de te le dire. Tu es passée où, mon ancienne amie ? Où est-ce que tu as disparu ? Dans quelles profondeurs insondables de la Terre ? Je veux y descendre, à la corde, en scaphandre s'il le faut pour venir t'y retrouver. Je suis bien obligé de faire avec, mais je ne veux pas de cette personne que tu es devenue et qui me considère comme un étranger, comme un ennemi... Où es-tu, toi la personne à qui je donnais le sourire, toi qui voulais discuter avec moi, toi avec qui je me suis senti si bien par le passé ?

Toi dont je suis et serai toujours amoureux...

Reviens soly. Je ne cesse pas de t'appeler, moi. Reviens...

S'il te plait.

dimanche 22 novembre 2015

Reliquats

Lorsque j'ai effacé les pages de mon journal, j'ai conservé dans un fichier les quelques messages que j'y avais écrit pour toi. Rien de formidable, mais je tiens à eux parce qu'ils datent de la période où tu savais mes sentiments pour toi, mais où tu ne m'ignorais pas encore. J'avais tout le temps peur de te perdre.

Quoiqu'il en soit ils font partie des messages qui sont pour toi, alors je te les laisse ici.

Je t'aime.

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11 février 2014

Puis je pense à elle, celle dont je suis tombé amoureux d'une manière absurde et qui ne le sait pas (heureusement). Je pense tout le temps à elle...

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12 février

Je me demande ce qu'il se passerait si je lui écrivais un mail, lui disant que je peux plus m'empêcher de penser à elle, et que ca m'empêche carrément de dormir ?

En fait, je sais ce qu'il se passerait. Je me ferais jeter, ou pire, ignorer et elle s'enfuirait. Ou elle tenterait la méthode douce, et moi de répondre « c'est pas grave, je suis fou, c'est pas grave, c'est pas grave... »
Ca aurait été le moyen d'exorciser l'amour. Comme quand j'étais petit et qu'il suffisait de parler des choses que j'avais sur la conscience pour les exorciser. Seulement, je ne suis plus petit ; je ne veux pas l'exorciser, je veux le vivre.

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18 février

Je te l'écris pas par mail parce que bon, mais je pense à toi, voilà.

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20 février

Je l'aime.
Et elle voit à peine que j'existe.

Je me demande comment le dire, comment approcher le sujet. Ca semblerait tellement choquant, tellement absurde de but en blanc...

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25 février

Comment dire je t'aime... ?

Quand on est fou.
Quand on est complètement fou...

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1 mars

Je t'aime.
Que ce soit dit :)

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3 mars

Je voudrais que tu sois là.

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9 mars

Je me sentais déjà beaucoup mieux quand je lui parlais tout le temps, à cette fille. Maintenant qu'elle s'est éloignée un peu, le moral redescend.
C'est juste impossible de vivre sans la présence d'une personne qu'on aime.

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10 mars

Je l'aime : un peu, beaucoup, passionnément...

J'ai des je t'aime qui tournent dans ma tête et qui bourdonnent comme des nuées, cherchant la sortie de toutes parts et ne la trouvant pas. Descendant souvent dans ma poitrine où ils provoquent des ravages.

Je t'aime putain... Si tu savais comme je t'aime ><

Tu fuirais sans doute à toutes jambes.

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12 mars

Je t'aime. De tout mon être. Je pense à toi tout le temps, tout le temps...

Je suis fou d'en être arrivé là, je le sais bien

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13 mars

Encore une fois, je t'aime. :)

Tu me plais... C'est dingue de me plaire autant. Surtout que bon...

Tout ca parce que trop lâche (ou trop sage, mais par humilité on va plutôt dire lâche) pour assumer ce que je ressens.

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18 mars

Je passe mes nuits à rêver de toi, du coucher jusqu'au lever. Je ne voudrais même pas me lever en fait, si ma mère ne m'attendait pas pour le repas du midi.
Ca fait mal pourtant, mais je ne veux pas cesser de rêver, que m'apportera de bon cette journée où tu n'es pas ? C'est encore dans mes rêves que tu es la plus présente. Ici, entre le sommeil et l'éveil, où l'imagination répond à l'envie.
Je t'aime...

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20 mars

Il est où le soleil ?
Si on faisait toujours les meilleurs choix possible, mes possibilités à moi auraient été bien pourries quand même...
Sauf si c'etait pour apprendre à apprécier la lumière à sa pleine valeur.

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24 mars

"Mentir c'est l'outil social de base".

Ce que j'apprécie particulièrement dans les relations que j'entretiens avec vous est justement le fait de ne pas avoir besoin de mentir, d'inventer, d'omettre ou de trop calculer, de trop se maitriser pour entretenir la qualité des relations en question.

Le fait de pouvoir être plus ou moins soi-même, en somme.


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4 avril

Je l'aime trop... C'est limite une torture

Trop profondément cassé à l'intérieur, à force de vivre comme ca. C'est pour ca que je tombe amoureux de cette façon absurde. J'ai des excuses... Pas vrai ? :\

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6 avril

Non... Non en fait. Putain, elle m'a dit un truc trop bien...

Est ce qu'elle se rend seulement compte, à quel point c'est trop bien ce qu'elle dit ? Je voudrais que oui...

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7 avril

Lever à 13h30. Je pense à elle, comme d'habitude.

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14 avril

Je t'aime.

Tu me manques, toujours, tout le temps.
J'voudrais que tu sois là alors j'imagine que c'est le cas. Tout le temps. Et tu me manques encore plus fort.

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15 avril

And I love her :)

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17 avril

J't'aime... ><'

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22 avril

Je t'aime.

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24 avril

Nan mais je t'aime... J'voudrais que tu t'en rendes compte et que tu le prennes bien surtout.

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26 avril

J'ai rêvé de la chose la plus belle du monde :)

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27 avril (une personne du forum me dit la chose suivante : "Faudrait prendre le risque de lui dire. :)", en réalité Myllie et Kuk me disaient depuis longtemps de te le dire, je les avais saoulées à ta place à force de leur dire que je sentais des choses pour toi)

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28 avril

J't'aime.

Et j'osef total de toute forme de raison tu sais... C'est un état et une envie implacables, c'est cruel mais tout ce que tu peux faire contre eux c'est leur faire mal. Mal jusqu'à ce qu'ils en crèvent avec le coeur qui les porte, parce que s'il vit à nouveau ce coeur fou c'est qu'il a trouvé quelque chose d'assez puissant pour tenter de battre.

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2 mai

J't'aime.

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4 mai

Je t'aime.

Bon mâtin.

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7 mai

J't'aime :)

Faudrait aussi que je trouve quelque part un minimum de putain de courage pour au moins ne serait-ce qu'essayer de l'assumer. Mais j'ai peur, je crois. Et j'ai surement raison d'avoir peur, pas vrai ?

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9 mai

Mais je t'aime putain :\
Certainement plus que quiconque alors que... Enfin c'est absurde ><

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12 mai

Je l'ai crié tout à l'heure dans ma voiture. Je me sentais très étrange... Je me demande si tu l'as «entendu»... :)

On dirait :)

Voilà, une fois de plus j'arrive pas à me lever parce que j'en ai pas envie parce que j'enchaine les rêves éveillés où tu es dedans :o

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17 mai

Tu me manques au point d'en avoir physiquement mal en me réveillant. Ca me manque de pouvoir me réveiller à côté de toi, de pouvoir passer doucement mon bras autour de toi pour te dire ces messages qui ne s'expriment pas avec des mots, de pouvoir passer mes doigts au bord de ton visage pour tenter de recoiffer maladroitement une mèche de tes cheveux. Ca me manque de pouvoir déposer un bisou sur toi sans te réveiller vraiment, de me lever, d'aller préparer un bon petit déjeuner et de revenir te l'apporter pour que tu souries en ouvrant les yeux.
Ces choses me manquent affreusement, si tu savais à quel point elles me manquent tu me prendrais pour ce que je suis.

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21 mai (J'ai posté dans ce journal une analyse des "rêves éveillés" qui se passaient avec des filles que je n'aimais pas quand j'étais petit et de ceux qui se passaient avec toi. Tu l'as lue, et on en a parlé tous les deux. Je ne sais pas si tu t'en souviens, mais moi je me souviens de ce que tu as dis. Tu as dis que quand tu étais jeune ça te dégoûtait de penser qu'un mec qui ne t'attirait pas puisse fantasmer sur toi. Plus tard, quand je t'ai dit que c'était de toi que j'étais amoureux et dont il s'agissait dans mes rêves, tu m'as dit que ça ne te dérangeait pas si tu gardais tes vêtements. Alors j'ai essayé de ne jamais te dénuder dans mes rêves éveillés. Mes vrais rêves, par contre, ont parfois trahi cette volonté)

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28 mai 2014

Je t'aime.

Je sais pas si j'arriverai à te le dire, et pourtant c'est ce dont j'ai le plus envie au monde ; j'en crève intensément chaque matin et un peu quasiment chaque minute de ma vie : je ne fais que de penser à toi, tout le temps, c'est presque effrayant. Enfin, si tu savais, tu trouverais surement ça effrayant.

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31 mai

J'ai envie que tu sois là...

Je ne saurais même pas quoi te dire. Toi non plus sûrement d'ailleurs. Mais je m'en ficherais, je serais heureux.

Et toi ?

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20 juin (PS : je te l'ai dit entretemps. Mon journal est rempli de ":)" et de "<3" pendant cette période, même si je ne les ai pas copiés ici. Tu m'as mis un petit râteau et pourtant tu sembles tout le temps vouloir revenir et tu es mignonne comme tout quand tu me parles ; je suis totalement euphorique à chacun de tes sourires)

Oui mes journées ont été pas mal remplies ces derniers jours, puis surtout la raison pour laquelle j'utilisais ce journal ces derniers temps n'existe plus, je préfère parler directement à la personne concernée plutôt que de parler au vide.

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23 juin (PS : je comprends déjà que si je continue de te dire mes sentiments, je vais te perdre...)

J'ai mal un peu quand même :\
Je sais que si je veux que ca aille où que ce soit il faut que je garde le silence absolu, même dans ce journal, mais je veux pas faire ça...
Nous les mecs on n'a pas le droit d'être soumis à nos sentiments, en fait on a limite pas le droit d'en avoir.

Il faut toujours « faire croire qu'on s'en fout », parce que les filles semblent être naturellement attirées par le fait qu'on s'en foute (ou plus exactement qu'on s'en foute d'elles) et ont peur de l'inverse. C'est absurde... Puis je ne suis pas cette personne, et je ne veux pas l'être. Ni même faire semblant que je le suis. J'veux pas faire semblant ><

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24 juin

Rêve éveillé sous la douche tout à l'heure. L'eau tiède qui percute le crâne, éclate et s'écoule en une caresse enivrante comme une brise d'été qui enveloppe le corps et l'esprit est propice aux errances de l'imagination.
Elle est de l'autre côté de la vitre, et elle me regarde. Elle me regarde seulement, et ne s'avance ni ne recule. Je me sens comme enfermé dans ma prison de glace d'une moiteur étouffante. Ses yeux ne trahissent aucune émotion, alors pour en révéler la lueur je porte ma main contre ma bouche, y dépose un baiser aussi doux que je parvienne à le faire, l'étend vers elle et souffle délicatement dans sa direction.
Mais le souffle se brise net contre la vitre qu'il embue en y mourrant. Dépité, je pose ma main contre la buée, et tandis qu'elle descend lentement en l'effaçant dans le son caractéristique que produit le glissement des doigts contre la vitre humide, elle efface avec elle le rêve de la personne que j'aime.
Mes yeux se dérobent, ma nuque se dérobe, mes jambes se dérobent. Je me laisse tomber en arrière, mon crâne heurte le mur.

Nuit noire. Pluie tiède.

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25 juin

J'ai peut être pas le droit de le dire mais putain qu'est ce que je le pense...

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29 juin

Peter Pan.

Comme Peter Pan, ce que je n'ai pas, je rêve que je l'ai, et parfois même je rêve que je rêve que je l'ai.

Je m'imagine seul dans mon appartement, un soir. Je prépare un bon repas et dresse une jolie table aux chandelles sur laquelle deux couverts se font face. Puis lorsque le repas est prêt je m'assieds devant mon assiette, me sers à boire et à manger, puis j'imagine qu'elle est là, qu'elle s'assoit à l'autre couvert, qu'elle sourit et qu'elle est heureuse. Mais contrairement à Peter Pan ça ne marche qu'un instant ; je reviens à ma réalité imaginaire, seul, et je meurs dans mon assiette.

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30 juin

J'veux te parler, j'veux... :\ Quand t'es pas là t'es là quand même.

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1 juillet

Pourquoi tu m'entends pas ? Pourquoi ça fait mal depuis si longtemps ? Pourquoi ça se passe mal comme ça ?

J'veux pas que ça se passe mal moi... J'veux juste que ça se passe bien au contraire !
C'est quoi une vie où seuls nos rêves sourient vraiment ? C'est mieux que rien ?

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2 juillet

:)

<3 mais :)

Tu es pleine de bonnes surprises.

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3 juillet

:) :) :) <= Résumé du soir

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7 juillet (PS : En réalité, cette "note à moi-même" est aussi une note à toi. J'interprétais négativement ton comportement et cela me faisait peur ; mais ce soir-là, tu m'as montré que j'avais tort d'avoir peur)

Note à moi même : la prochaine fois que tu bades insondable connard, ravale ton égocentrisme et tes peurs mal placées. Tu peux parler des choses qui te font peur, mais surtout, SURTOUT, ne cherche pas à résoudre ces peurs d'une mauvaise manière.

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9 juillet

Je t'aime.

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10 juillet

C'est une étrange situation.

Dans mes rêves sans repos je marche, mais je ne suis pas seul. Tu es là et nous échangeons des mots en silence. Des mots qui ne peuvent pas se dire, ni même s'écrire. Des mots silencieux.

C'est toi et pourtant ce n'est pas toi. C'est toi telle que mes rêves te voudraient, et pourtant ce n'est pas toi telle que mon cœur te veut. C'est une âme édulcorée, volatile, incomplète. Un fantôme qui porte ton visage, dont l'amour trop facile est le seul intérêt.

Je suis fou sans doute. Je pense toujours trois ans en arrière, à ce que j'ai quitté. Je ne sais jamais si je regrette vraiment. Au fond... Enfin je ne te ferai pas l'affront de l'écrire, mais je le pense. (PS : je te fais quand même finalement l'affront de l'écrire ; ce que je voulais dire ici était que si je n'étais pas passé par tout ça, je ne t'aurais pas rencontrée)

C'est une étrange situation, d'écrire ça ici. C'est à toi que je voudrais l'écrire. Et pourtant si je le faisais j'écrirais les choses différemment, de façon moins naturelle, plus calculée sans doute, car ne pouvant pas me dédouaner de l'enjeu d'un tel message : ta considération. Ici quelque part c'est mon espace, tout le monde lit, mais personne n'est censé le faire, sauf la personne qui y est explicitement contre-invitée. C'est idiot...

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12 juillet

Je t'aime et j'ai besoin de toi.

Oui, besoin... Je sais que je suis censé faire semblant que ce manque n'existe pas. Mais fuck, sérieux, il a détruit ma vie.

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14 juillet (PS : cette citation de l'ancienne toi est très importante pour moi. C'est l'une des raisons pour lesquelles je n'abandonnerai jamais, même face à ta haine apparente qui me dépasse)

It's that time again... Juste, je pense à toi.

Tu m'as répété une citation qui n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd. Enfin, dans l'oeil d'un aveugle...

Fais de jolis rêves ! Pour moi, je ne m'inquiète pas.

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15 juillet

Il y a deux types de personnes dans ce monde : celles qui acceptent la réalité et celles qui ont la puissance de la modifier.
J'aurais aimé ne jamais avoir à choisir, j'aurais aimé que la réalité me satisfasse tout simplement, comme c'est le cas pour celle que je suis allé chercher avec kay.
Mais ce n'est pas le cas ici bas. Ce n'est pas le cas du tout et j'ai bel et bien à choisir. J'ai choisi une fois d'accepter en me suicidant et en allant voir « ailleurs ». Et bien j'ai vu, et j'ai vu que c'était immensément mieux ailleurs. Mais cela je ne l'accepterai jamais. Maintenant je ferai tout pour que la réalité devienne aussi bien, TOUT, sans perdre de vue ce que je veux en allant me perdre où je ne veux pas aller comme ces pauvres hères dont je te parlais hier, jusqu'à la fin.

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16 juillet

J'ai rêvé de toi cette nuit. Je t'aime.

Ça vient de me prendre dix minutes de décider de l'ordre d'arrangement de ces mots.

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24 juillet

Il y a deux minutes j'avais mal, je l'aime si fort que ça me faisait mal ; j'avais envie de plonger ma main dans ma poitrine et de m'arracher le coeur. Et puis une simple jolie réponse d'elle, et me voilà pour un temps l'homme le plus heureux du monde :)

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29 juillet

J'ai mal bordel... Ca ne devrait pas se passer comme ça ><
Quand est-ce que ça se passera bien pour une fois ? :\ C'est bon, j'ai donné là, j'ai donné pendant 18 ans, à un moment faut que les mauvaises choses aient une fin, non ?

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1er aout

Je t'aime. Je l'écris ici pour essayer de ne pas être trop lourd.

<3

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3 aout

De manière générale tout va bien ^^

En vrai ça ne dépend pas que de moi, j'ai juste la chance que mon coeur s'entiche des bonnes personnes.

<3

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5 aout

Je t'aime fooooort <3

Je veux dire "je l'aime fort". Mais c'est à elle que j'veux le dire. Sauf que je veux pas lui dire "trop".
Il aura eu plein d'utilités différentes ce journal.

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6 aout

Je voudrais que tu me répondes, en vrai. Enfin il y a beaucoup de choses que je voudrais...

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10 aout

Je n'ai pas un seul instant de repos. Je pense à elle tout le temps, le moindre de ses silences me fait bader, et la moindre de ses réponses me rend super heureux à chaque fois. Elle me manque, tout le temps, tout le temps, tout le temps.

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11 aout

Bon, avant que la batterie de mon tél meure, je t'aime.

Hé ouais.

*râle d'agonie du portable*

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14 aout

J'oscille entre deux états de pensée en permanence.
Un état amoureux extrême, et un état d'auto-flagellation à propos de l'état précédent (je me projette alors dans le regard de la personne concernée et y ressens un jugement extrêmement négatif, dont je m'étonne à chaque fois qu'il ne soit qu'une invention de ma part).

Parce que oui, je suis très fort pour (mal) penser à la place des autres...

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18 aout (PS : je suis en vacances à l'étranger. Pendant ces vacances je vais tellement te saouler que je vais te perdre, te récupérer, te reperdre, et de te rerécupérer)

Les feuilles des eucalyptus se projettent en ombres chinoises sur le paravent ; c'est joli, calme. Leur odeur vive se mêle dans l'air à la tiédeur agréable du soleil matinal.

Notre maison sommaire est une cabane ouverte, perchée dans l'un des arbres à quelques mètres du sol. À même le plancher sont posés deux tapis épais sur lesquels nous avons dormi, et tu dors encore, couchée sur le ventre, les deux bras posés, paumes fermées, de part et d'autre de ta tête.

Je contemple ton visage aux paupières encore closes. La lumière douce du soleil qui filtre entre les feuilles l'éclaire d'un teint frais constellé d'ombres dont le mouvement léger attire irrésistiblement mon regard, et je me dis que de toute ma vie je n'ai jamais rien vu d'aussi charmant. En prenant garde de ne pas te réveiller, je pose ma main au dessus de la tienne, et du bout des doigts je vais chercher tes doigts à toi que j'ouvre délicatement. Ta main à demie ouverte est posée paume et ongles au sol, on dirait un petit animal adorable allongé là, entre le sommeil et l'éveil. Je glisse mes doigts entre les tiens, puis, d'un mouvement lent mais dont la pression te tire légèrement de ta torpeur, c'est ma main qui se referme autour de la tienne.

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25 aout

Je t'aime. Fort.

Ça m'empêche de dormir une fois de plus.

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26 aout

[...]

Étrange torture que de se taire, quand on meurt d'envie de dire [...].

Tous les jours. Tout le temps. Presque à chaque seconde de sa vie.

Seulement il n'y a qu'au réveil que le coeur l'emporte sur la tête. Le reste du temps je regrette de l'avoir laissé s'exprimer à nu, car j'ai peur de te perdre une fois pour toutes.

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28 aout

Nan mais je suis fini... Suffit que tu me parle trois secondes et je suis reparti de plus belle.

C'est pas possible comme je t'aime...

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29 aout

J'ai lu quelque part, sur ce forum sans doute, quelque chose qui ressemblait à « l'homme a deux possibilités : rester allongé et continuer de rêver ou bien se lever et réaliser ses rêves ».

Moi, je rêve de toi.

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31 aout

Je t'aime. Moi au moins je sais ce qui m'empêche de dormir.

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31 aout encore

Elle m'empêche de dormir mais aussi de me lever. Je suis toujours là allongé à rêver d'elle, à me tourner et me retourner, et à me demander ce qu'il faut que je fasse et ce qu'il faut que je ne fasse pas.

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2 septembre

<3 :)

J'veux pas que tu te sentes mal à cause de moi... :\

Mais juste, <3

PS : je me fais une petite fausse joie à chaque fois que j'ai un mail.

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3 septembre

Tu es toujours là.

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3 septembre encore (PS : Tu as décidé de stopper en effet. Moi, je ne voulais vraiment pas que tu partes. Encore aujourd'hui je ne l'accepte pas, en tout cas j'essaierai toujours de te donner envie de revenir vers moi, parce que moi, la chose dont j'ai le plus envie au monde, c'est que tu reviennes, que tu sois à nouveau semblable à la personne que tu étais il y a un an. Je l'aime, cette personne)

Tout ça c'est des trucs que je lui ai dis, elle sait très bien que je la verrai jamais comme une "simple pote", alors la seule personne qui peut décider de stopper c'est elle, moi je ne veux clairement pas stopper quoique ce soit, hormis de la faire se sentir mal mais j'y arrive pas.

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7 septembre

Je fais que ça de visualiser des dénouements positifs, depuis des mois, je le fais même pas exprès.

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9 septembre

L'île de Saint Laurent. Je suis tombé nez à nez avec elle aujourd'hui. Si encore c'était la seule, mais ça m'arrive dix fois par jour...

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14 septembre

Eh sérieux je tombe sur toi 10 fois par jour, si je n'étais pas moi-même l'auteur le la théorie qui consiste à dire que les signes sont des interprétations erronées du hasard dues à une focalisation de la conscience sur ces éléments particuliers je me poserais des questions.

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15 septembre

A chaque explosion émotionnelle, à chacune d'elles, c'est toi. Tu canalises tout... Et tout part vers toi.

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16 septembre

Je ne peux pas écrire ce que je sens, car je crois que ce serait une "erreur". Mais je le sais, je le sens très bien, bien sûr...

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16 septembre encore

Voilà, je pars dans la nuit.

Voilà peut être un mois que je n'ai plus goût à rien, que je me force à manger même les choses que j'aime, que je n'ai plus vraiment le sourire et l'envie d'avancer qui était revenue cette année, que tu m'avais rendue sans t'en rendre compte, toi.

Voilà ce qui me fait peur.

samedi 7 novembre 2015

Scène

Du haut de la pente, tout semblait infime et immense à la fois. Le manteau blanc des montagnes, les conifères majestueux qui s'ébrouaient paresseusement sous le poids de la neige, le ciel qui embrassait la mer dans l'horizon lointain, où se mêlaient leurs bleus clairs et sombres, légers et profonds de concert.

Elle prit une longue et calme inspiration. Ils avaient escaladé le flanc de la montagne pendant des heures avec leur matériel sur le dos jusqu'à atteindre un petit sommet intermédiaire, où ils avaient prévu de s'arrêter pour manger un morceau avant d'entamer la descente. L'ascension s'était révélée particulièrement difficile, et à plusieurs reprises l'idée d'abandonner lui était venue à l'esprit, mais lorsqu'elle était entourée de ses amis n'importe quel objectif lui aurait semblé valoir sa peine, du moment qu'ils l'atteindraient ensemble.

"Hey !! Are you freezing up there ?"

Elle reprit ses esprits et jeta un œil dans leur direction : ils avaient déjà bien descendu, et ils l'attendaient un peu plus bas, en se demandant sans doute pourquoi elle n'avait pas suivi. Elle s'imprégna du paysage un dernier instant, sourit, et commença à se laisser glisser doucement.

mercredi 4 novembre 2015

Douze millions de mails fuckés

Je viens de relire les premiers mails que je t'ai envoyés, ceux auxquels tu as répondu.

Je suis désolé d'avoir fait tout ça, je suis vraiment, vraiment désolé. Tu étais adorable, terriblement adorable, et je t'aimais - vraiment - de tout mon cœur.

Et ça m'a rendu fou, ça m'a rendu complètement fou de toi, si cette expression a un sens il est là. J'ai vu ce que je t'ai fait, j'ai vu que tu es restée très longtemps géniale avec moi, que tu as essayé, vraiment essayé de rester ma pote, et que c'est moi qui ai tout gâché avec insistance. Ton rejet m'a fait péter un câble, j'avais tellement, tellement envie d'être avec toi que j'ai tout fait pour te perdre, et en plus je savais que j'allais te perdre...

Je te comprends si tu ne veux jamais me pardonner, je le comprends vraiment. Mais je te le demande quand même, s'il te plaît, parce que je ne veux pas que ça se termine comme ça, moi... ='/

samedi 31 octobre 2015

L'algèbre linéaire ne m'attire apparemment pas autant que toi...

Mais comment je suis censé faire, moi !? J'arrive même pas à réviser mes maths je pense à toi tout le temps, tu me manques comme c'est juste pas permis, tu me manques tu comprends ? Je m'y mets deux minutes et il y a une partie de moi qui me crie "Elle est où soly ? Pourquoi elle est pas là ? Pourquoi t'es en train de faire ça au lieu de lui dire que tu l'aimes ? Ca sert à quoi de faire ça si elle est pas là ?"... J'arrive pas à la faire taire... Il y a un moment où je dois la faire taire et travailler sereinement mais j'y arrive pas, tu me manques trop, même pour ça tu me manques trop !

Je veux que tu sois là, moi... Je veux pas être là sans toi, c'est trop nul, ça n'a pas de sens j'ai envie de rien sans toi, je fais semblant d'avoir envie, tout ce qui me donne envie d'avancer c'est l'espoir que tu reviendras un jour, je t'aime soly, je t'aime de tout mon cœur malade comme tu dis, c'est toi qui me donnes envie de vivre tu comprends ??

Je sais bien que tu me prendrais pour un fou si tu lisais ça... Je le sais bien et pourtant c'est vrai, je t'aime et je veux que tu reviennes...

Je dois dire quoi, moi, si la vérité ça te fait fuir si loin de moi ? Je dois faire quoi, moi ?

Réponds-moi s'il te plaît, je voudrais tellement que tu me répondes... Je voudrais être en train de te serrer dans mes bras et de déposer des baisers dans ton cou à l'heure qu'il est, pas être ici sans toi, à ne pas réussir à bosser mes maths à cause du manque de toi... Pourquoi tu as libéré mes rêves, si c'était pour t'enfuir ensuite ? Pourquoi tu m'as rendu amoureux de toi...

Je t'aime. Je n'aurai pas de repos le temps que tu seras si loin.

vendredi 30 octobre 2015

Petite pensée nocturne

La vie toute entière devient vraiment difficile à supporter en ton absence. Je te vois partout pour la tromper, cette absence dont je ne veux pas, et le monde me fait de grands signes tous les jours pour me dire que tu existes. Il ne me fait pas beaucoup de signes pour me dire comment te rendre l'envie de venir vers moi, par contre...

Tu sais, je ne veux pas faire de grands discours, je veux juste te dire que j'ai envie de te rendre heureuse et d'être heureux avec toi. Je te l'ai déjà dit souvent bien sûr, et tu as souvent rejeté mon amour, mais au fond je te l'avais promis : il est invincible, tu vois... Et il est toujours là pour toi, même si toi tu l'as abandonné. Il espère juste qu'un jour tu te rendras compte qu'il ne te veut pas de mal, et que ce jour ne mettra pas l'éternité à arriver parce que là ça fait déjà 25 ans qu'il t'attend.

Je ne me contente pas de t'attendre, en plus, je fais tous les efforts que je peux pour changer avec les gens et tout et pouvoir t'offrir quelqu'un d'aimable, et ça marche d'ailleurs. Je fais tout ce que je peux pour changer ton cœur aussi, je t'écris ici et ailleurs, je te montre chaque jour depuis l'été dernier que je pense à toi.

samedi 24 octobre 2015

Tromper le manque de la personne qu'on aime

Bonjour soly.

Me voilà à nouveau là en train de penser à toi tout en serrant mon édredon dans mes bras. "Je t'aime, je t'aime... JE T'AIME !!", je meurs d'envie de te le dire...
Combien de temps ça fait maintenant ? Combien de temps tu as réussi à me détester à cause de ça alors que moi tout ce dont j'ai envie c'est de toi, alors que mon rêve le plus cher c'est de te revoir sourire un jour ?

A la fac, j'ai une amie qui n'a que 20 ans mais qui te ressemble beaucoup. Physiquement déjà, mais pas mal dans sa manière d'être aussi. En tout cas si je devais t'imaginer à 20 ans je t'imaginerais comme elle. Elle m'a dit il y a quelques jours qu'elle était en train de perdre son meilleur ami parce qu'il était amoureux d'elle et qu'elle lui avait mis un râteau, alors il ne voulait plus lui parler... Cette fille elle m'attire beaucoup. Elle, elle se colle tout le temps à moi, et elle me parle tout le temps de son copain avec qui elle est depuis trois ans et qu'elle a l'air d'aimer. Puis à côté de ça elle est très tactile avec moi ; elle n'a de cesse de mettre son bras contre le mien en cours, sa tête contre moi, ses cheveux sur ma peau tout le temps. Il y a quelques jours, à trois reprises elle a posé ses seins sur mon bras en tp d'algo de graphes pour me montrer un truc. Je ne sais pas si elle s'en rend compte.

Mais au fond, je ne suis pas amoureux d'elle, alors j'ai envie de me racheter symboliquement en lui donnant à elle l'ami que je n'ai pas su te donner à toi.

Voilà. Je t'aime.

mardi 20 octobre 2015

Scène

Elle laissait mijoter quelques poivrons, de la crème et de petits dés de veau au safran, et sortit un instant profiter du soleil timide du mois de Mars. L'étendue d'eau froide parvenait en cette saison au pied du jardin ; les pluies d'hiver avaient bu la petite plage de galets blancs qui, en été, se découvrait d'un pas ou deux et donnait au lieu un visage tout-à-fait différent.

Pour l'heure, le lac s'étendait là à la manière d'un grand miroir oublié par les Dieux au creux des montagnes, dans lequel se miraient le bleu pâle du ciel et le versant Nord des sommets encore enneigés.

"Maman !"

La brise, légère, annonçait le printemps.


mercredi 7 octobre 2015

La répétition

Combien de fois t'ai-je écrit la même chose ? Si tu imaginais seulement le nombre de fois que je te l'ai dit en pensée, sans te l'écrire, c'est absolument vertigineux.

Peut être que je devrais essayer de t'écrire des histoires, pour varier un peu. Pour te dire la même chose, dans le fond, mais pour te le dire d'une manière peut être moins assommante qu'en me contentant de répéter inlassablement les deux mots et demi qui me semblent être les seuls capables de vraiment exprimer ce qui habite dans mon cœur.

Peut être que j'ai juste la flemme, dans le fond, que je fais le gars capable de décrocher la lune pour le simple privilège de te voir sourire mais qu'en fait j'ai à peine le courage de faire mieux que de te répéter que je t'aime comme un con depuis tout ce temps alors que tu m'as jeté comme ces gens qui t'ont jetée auparavant. Mais en vrai, je l'ai promis, si ça ne demande pas de me servir d'autres gens je veux bien tout faire pour que tu me pardonnes et que tu aies envie de me reparler. Si seulement je savais quoi, je le ferais.

J'essaierai de t'écrire de jolies choses, quand j'aurai un peu de temps. Peut être que tu ne les liras jamais, ici, mais j'espère que tu les liras un jour et de toute façon je me dis depuis longtemps que comme tu ne veux plus me voir ni m'entendre c'est surtout l'acte qui compte. Le fait de le confier au monde, quelque part, cet amour, pour qu'il te le rende sans te dire que c'est le mien.

Je viens de dire que je ne me contenterai pas de t'écrire ça mais, je dois dormir, alors...
Je t'aime...

dimanche 4 octobre 2015

Le chemin à parcourir

La route est encore longue, quand je regarde devant moi.

J'ai repris en licence 3 cette année, parce que mon ancienne école me l'a demandé pour me reprendre sur dossier en première année. Alors j'en ai encore pour quatre ans, d'ici.

Ca m'a coûté cher, d'aller cueillir les fleurs sur le bord du chemin. Je n'avais pas le choix bien sûr, mais c'est difficile de ne pas regretter le temps passé... En tout cas j'ai encore tout ce temps à tenir avant d'en arriver au point où, toi, tu étais déjà quand je t'ai connue, il y a deux ans. Alors d'ici-là...

J'aurai toujours besoin de toi, même si tu refuses toujours d'être là j'ai besoin de t'aimer, c'est ce qui me donne envie d'avancer, même en pleurant... Ca fera toujours moins mal que quand tu n'existais pas, tu sais :/

Il y a beaucoup de choses qui me font penser à toi, chaque jour. Des chansons, des paysages, des personnes qui te ressemblent un peu, des gens qui me parlent de la Norvège tout le temps, ma mère qui habite à Montréal, ma sœur qui est du côté de Lyon, et puis je rêve souvent de toi la nuit, je rêve que tu ne me détestes plus, que tu as à nouveau envie de me raconter ta vie et tes journées, que tu me souries parfois, que tu m'engueules ou que tu me fais mal d'autres fois, mais au moins tu es toujours là et c'est mieux que le rien du tout du reste du temps.

Ca me donne envie de sourire de t'écrire ça, je ne sais même pas pourquoi. Mais voilà... (:

Tu me manques soly.

Quel titre donner à un mot d'amour ?

Si seulement tu ressentais ce que je ressens, si seulement tu pouvais te mettre dans mon corps et sentir ce que cela fait d'être moi... Tu me comprendrais, au moins...

"Soly"... Je suis encore là, allongé seul dans ce grand lit et toutes les cellules de mon corps crient au manque de toi d'une façon assourdissante ; mon cœur fait tout, absolument tout ce qui est en son pouvoir pour tenter de faire changer un tout petit peu d'avis la fille qu'il aime ; la seule fille que je désire réellement : toi... Je n'en peux plus mon amour. C'est un espace pour toi, ce blog, mais c'est aussi le mien, alors laisse-moi t'appeler "mon amour" sans faire la grimace s'il te plait... Si tu savais seulement à quel point tu es profondément gravée dans mon cœur, à quel point j'ai envie de te voir, de simplement voir ton sourire...

Je ne sais pas quoi faire. Cela fait depuis l'été 2014 que je ne sais plus quoi faire... Tu...
Tu me tiens tellement rigueur de mon cœur, comment faire pour atteindre le tien ? Comment faire pour ne plus être vraiment seul à t'aimer de tout mon cœur à moi ? Ce même cœur que, toi, tu trouvais joli il y a fort longtemps, avant qu'il te dise que c'était toi qu'il aimait...

Tu sais bien que j'ai énormément d'amitié et d'amour pour toi, alors pourquoi tu me traites comme ça ? Il y a des amies qui me désirent un peu, c'est vrai qu'elles ne m'envoient pas des messages pour me dire "je t'aime" tous les jours, mais je ne les jette pas pour autant, moi...

Je ne sais vraiment pas quoi faire, je veux seulement te donner un peu envie de me parler à nouveau, car moi j'ai très envie de parler avec toi et pas juste à toi alors que tu m'enfermes dans ton silence, et j'ai éprouvé beaucoup de bonheur dans le simple fait de passer du temps avec toi.

jeudi 1 octobre 2015

Petite pensée

C'est avec beaucoup de tendresse et d'affection que mon cœur pense à toi ce soir.
 Toi qui as oublié comment ouvrir les yeux.
 Je t'aime et tu me manques.

Je t'espère.

Mais pour l'heure, je te souhaite une bonne nuit, et j'attends de m'endormir afin de te revoir en rêves.

samedi 19 septembre 2015

Envie de toi

Je t'aime.

Je pense à toi, avec encore beaucoup de manque et d'envie. Tout ce manque, et toute cette envie qui est la mienne et qui s'est construite au fil des années, tout ça, mon coeur, c'est pour toi.

Cette nuit je vais encore rêver de toi pour être moins triste, et demain je me réveillerai encore sans toi, pas vrai ?

Dis, toi que j'aime, toi qui est la seule fille à qui j'ai envie d'avoir le courage de le dire en te regardant dans les yeux : "je t'aime" ; dis-moi quand se terminera ce cauchemar de ton absence ? Quand se termineront ta fuite, ton dégoût, ton silence ?

Je t'aime.
L'envie, je la combattrai encore un peu ce soir, en demandant à mes rêves de seulement t'embrasser.
Pardonne-moi... Je fais vraiment ce que je peux pour que tu reviennes, mais j'échoue jour après jour. Un jour je remporterai cette bataille avec toi, c'est trop important pour moi, tu vois ?
Je t'aime. Encore une fois. Ose appeler ça un amour qui n'existe pas.
Tout mon corps t'appelle, je t'aime de tout mon coeur.

vendredi 11 septembre 2015

Tu me manques la nuit

Je suis encore là, à serrer mon coussin contre ma poitrine en pensant à toi. J'ai toujours ce froid mordant dans mon coeur, ce vide, cette envie extrême que tu sois là. J'ai envie de te parler, j'ai envie que tu me parles surtout...

Pourquoi tu ne le ressens pas, toi ? Tu ne le ressens vraiment pas ? C'est possible que ce soit si fort en moi et qu'en toi il n'y ait vraiment plus rien d'agréable à ressentir pour moi ? J'en ai marre de m'apitoyer tu sais... Mais c'est juste tellement injuste cette situation, c'est juste tellement nul... Regarde...

Tu ne le sens pas, ce sentiment ? Il est immense en moi, et il est pour toi. Il devrait juste te rendre heureuse aussi, c'est vraiment pour ça qu'il existe, pour nous rendre heureux tous les deux... C'est pour ça qu'il existe...

Je t'en supplie change... Juste un tout petit peu, juste... Parle-moi... Comme avant, comme quand tu le savais pas qu'il était pour toi mon coeur... Tu me fais mal... Je suis blindé et je peux supporter d'avoir très mal tout en restant debout mais ça ne m'empêche pas d'avoir mal... Change...

dimanche 6 septembre 2015

Je t'aime, 2

Je t'aime soly. J'ai l'impression de me recueillir sur une tombe à chaque fois que je te le dis, tant tu es loin de moi maintenant.

Je sais que je n'ai pas le "droit" de te dire ça parce que c'est n'importe quoi de te dire ça mais, je t'aime mon amour...

Ce serait tellement bien un monde où j'ai le droit de te dire ça, ce serait tellement bien si je parvenais à transformer ce monde en un lieu où j'ai le droit de te dire "je t'aime", où j'ai le droit de t'appeler "mon amour"... On en est loin de ce monde, pas vrai ? Beaucoup trop loin...

Enfin il existe un tout petit peu, lorsque je ferme les yeux, et dans ce blog. Au moins je ne te le fais plus subir contre ton gré, ici, enfin plus trop, et il existe quand même un petit peu et si tu veux y entrer tu le peux, moi je t'y invite évidemment.

Il faut juste que tu mettes un casque de protection si tu crains les "je t'aime" qui te sont destinés. Parce que pour être honnête, le manque de toi et le manque de "faisage de bébés" sont immenses. Ils se couplent l'un l'autre en moi, et me font dire en pensée des choses qui te sembleraient à toi des horreurs, des "j'ai envie de toi" qui veulent tout dire à la fois. Ils me font rêver ces rêves dont on a parlé, dans lesquels j'essaie toujours de te respecter, moi, au moins de te laisser tes vêtements comme tu m'as demandé même si maintenant ça semble un peu dérisoire...

Je t'aime mon coeur. J'utilise cet endroit pour te le dire sans trop de restrictions, comme ça je suppose que si un jour tu reviens vers  moi tu ne m'entendras pas trop le dire et ça te gênera moins... Je t'aime de tout mon coeur, qui se souvient de toi après un an, qui se souviendra toujours de toi tu sais...?

Toi est-ce que tu m'oublies vraiment, maintenant que je te fiche la putain de paix ?

Moi... Je t'aime.

samedi 5 septembre 2015

Je t'aime...

Je t'aime, vraiment. Je t'aime tellement fort :/

Change un tout petit peu ton coeur je t'en supplie. Tout est vide depuis que t'es pas là, je n'en peux plus moi... S'il te plaît regarde moi... Ça fait deux ans que tu hantes mes nuits et mes jours, je ne t'ai jamais menti tu sais, je ne te mentirai jamais... Je t'aime... Ces sentiments que je te dis ils sont vraiment là depuis que je te connais, ils me rendaient vraiment heureux quand tu disais que ça te rendait heureuse qu'on passe du temps ensemble, oui, même si c'était que virtuel... Moi ça ne m'empêche pas d'éprouver des choses très puissantes pour toi, tu le sais bien, tu l'as toujours su...

"Soly"... Je t'en prie arrête de me laisser, arrête de m'ignorer et de dire que ça te concerne pas, de me détester et de m'insulter quand tu daignes encore m'adresser la parole... Je suis désolé, je te jure que je suis désolé de t'avoir mise mal avec tous ces messages... Je le regrette tout le temps, même en t'écrivant je le regrette. Parce que je t'ai perdue et je te sens tellement loin maintenant, mais je sens toujours autant d'amour pour toi, moi, et tu me manques depuis tout ce temps...

Je dois faire quoi pour que tu arrêtes de m'ignorer, pour que tu aies envie toi aussi, ne serait-ce qu'un tout petit peu, de me reparler ? Dis-le moi je t'en supplie, dis-moi ce que je dois faire pour ça, tu me manques "soly", si seulement tu étais capable de sentir à quel point tu me manques sans que ça te fasse me prendre pour un taré à fuir à tout prix...

Je n'aime pas te supplier, mais tu me laisses quel autre choix, moi ? Je crève du manque de toi, j'en ai marre que ça te fasse peur mais c'est la vérité : tu me manques limite à en crever... Je t'en supplie reviens... Je voudrais qu'on parle de vive voix, parce qu'au moins à l'oral ce serait tellement difficile de te dire tout ce que j'ai sur le coeur que tu aurais l'impression que je suis juste un pote, puisque c'est ce que tu voulais...

Je suis prêt à faire semblant d'être juste un pote moi si ça te fait revenir, je suis prêt à presque tout si ça te fait revenir, mais je t'en supplie reviens...

mercredi 26 août 2015

La flamme qui survit à la mousson

Je t'aime et je pense à toi.
Est-ce que toi aussi tu as une pensée positive pour moi de temps en temps ? Mon côté optimiste me dit que oui, sinon comment survivre dans la haine apparente de la fille qu'on aime ?
Temps qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir, hein, c'est toi-même qui l'a dit dans ton dernier mail. Moi, tant que je garde espoir je survis, alors je n'abandonne plus jamais, tu vois.
Je t'aime et malgré tout, j'ai tout au fond de moi l'espoir qu'il y a en toi autre chose que ce que tu me montres, j'ai l'espoir que toute cette histoire, puisqu'elle est si importante pour moi, elle finira bien même si elle a si mal tourné. Je fais tout pour, de mon côté.
Ce que je te demande, moi, c'est juste d'arrêter de me fuir comme la peste et de me traiter tout comme. C'est juste de te rappeller que tu as un ami en moi, et que quand cet ami dit "je t'aime" ça ne veut pas dire "je te déteste", ni "je veux t'enchaîner et me marier avec toi" d'ailleurs. Ça veut juste dire que tu es cette personne qui me rend heureux quand elle est là, et même un peu quand elle n'est pas là, alors j'ai envie de lui dire, et ce n'est pas si mal ni si terrifiant, fut-ce de la part d'un gars qu'on ne connaît que virtuellement. Et d'ailleurs, moi, le jour où tu me diras que tu veux me voir en vrai, même si c'est pour me coller une patate, je viendrai.
Parce que comme je te le montre tout le temps même si tu ne veux pas l'entendre, tu es la seule personne de notre microcosme virtuel qui soit aussi importante pour moi.

lundi 24 août 2015

Que faire ?

Alors, que faire ?
Pour que tu aies envie de me parler comme j'ai envie de te parler.
Pour que tu laisses tomber ce dégoût.
Pour que tu aies envie de partager des choses avec moi comme moi j'ai envie d'en partager avec toi.
Pour que cessent ce silence et cette haine.
Pour accorder ce qu'on ressent ou non.
Pour que tu me souries à nouveau.
Pour qu'on se rende heureux ; pas seulement toi ou pas seulement moi, tous les deux l'un l'autre, comme à l'époque où tu me le disais et où je ne te le disais pas, parce que j'avais peur de te faire fuir si tu comprenais que tu me rendais heureux parce que j'avais des sentiments pour toi.
Pour que les choses soient positives, quoi, ça sert à quoi tout ça sinon ?

Bordel, je dois faire quoi, moi ?

Et toi ? Pourquoi tu ne fais plus rien de positif ? Pourquoi ce silence, pourquoi ces insultes ? Est-ce que je t'ai jamais insulté, moi ? Est-ce que je t'ai jamais envoyé autre chose que de l'amour, à la fin ? Tu me reproches quoi ? D'être amoureux de toi ? De ne pas vouloir le cacher ? De te le dire beaucoup trop ?
Il y a quoi derrière ce silence impénétrable ?

Je ne te vois plus, moi... Je ne sais même pas ce que tu deviens, je refuse que ce soient les autres qui me l'apprennent. Tu crois que je ne te respecte pas ? Que ta volonté je m'en fous ? "soly" je suis face à un mur de silence et je suis amoureux de la fille qui est derrière, comment tu veux que je fasse autrement qu'en essayant de le casser, ce mur ? Tu es tellement silencieuse que ça me fait plaisir quand tu prends la peine de m'insulter, pas pour les insultes évidemment mais parce qu'au moins tu es un peu plus là...

Et quoi, ça te fait pitié ça ? Mets-toi la où je pense ta pitié pour moi tu sais très bien que je n'en veux pas. J'ai juste envie qu'on ait tous les deux autant envie de se parler, moi, c'est quoi cette histoire de merde à la fin...

samedi 22 août 2015

Les aventures avec toi sans toi

Bonsoir mon amour.

J'ai encore beaucoup pensé à toi aujourd'hui. On est sur une île plus ou moins déserte, envahie de forêt vierge. Si envahie en fait qu'on ne peut pas s'y déplacer, hormis en suivant l'un des trois sentiers quasiment impraticables qui traversent la jungle, ce qu'on a fait aujourd'hui. C'était chaud, humide, on traversait à pieds un ruisseau tous les vingt mètres et on se faisait dévorer par les moustiques, je ne t'aurais pas vue là-dedans toi qui aimes l'air frais des montagnes, n'empêche que je t'imaginais avec nous. Les randos en mode aventuriers comme ça quelque part ça me fait penser à toi, même si ce n'est pas ton genre en l'occurrence. Ce sont des choses que j'aimerais bien partager avec toi.

Notre logement sommaire est sur la plage d'une grande baie où le soleil se lève. Du coup, il se couche de l'autre côté de l'île, mais les rayons du crépuscule se reflètent sur les nuages de notre côté, qui se transforment pour quelques minutes en de petits soleils secondaires qui brillent sur l'eau d'une belle lueur orangée, c'est magique. Enfin, moi je trouve ça magique, et en regardant ça tout à l'heure, je n'avais qu'une envie c'était de m'assoir avec toi sur le sable et d'essayer de partager avec toi ce que je ressentais, à admirer ce paysage en ta compagnie. J'imaginais tout le bonheur que j'éprouverais, juste à être là, à te dire que je me sens bien avec toi, que je veux rester encore un peu.

Mais tu n'étais pas là bien sûr... Alors j'ai continué d'imaginer, de rêver que tu étais là, comme toujours.

Je vois beaucoup de jeunes qui sont venus ici en couple. Je suis jaloux d'eux mon amour... Je suis tellement jaloux du fait que, eux, ils soient vraiment heureux, ou ensemble en tout cas, qu'ils n'aient pas besoin de rêver que leur amour ne les hait pas et qu'il est avec eux... Je voudrais être à leur place, je le voudrais vraiment.

Tu me manques à ce niveau-là aussi, bien sûr. J'en ai assez de devoir rêver moi, je veux que... Je voudrais que ce soit réel. Je m'en fous que ce soit vraiment comme dans mes rêves, mais je voudrais que tu sois là au moins... Que je puisse essayer plus doucement, pas hurler ton nom et que je t'aime pour que tu reviennes alors que je sais que tout ce que je gagne c'est de te faire fuir toujours plus loin... S'il te plaît je veux tout effacer, revenir un an en arrière... Je ne te perdrai plus jamais.

mercredi 19 août 2015

Là où l'envie de toi est bien trop crûe pour que j'aie "raison" de te la dire

Bonsoir mon coeur.

Tu veux bien que je t'appelle "mon coeur" ? Dis-moi oui... Je... J'ai très envie de vivre dans un monde où j'ai le droit de t'appeler comme ça... Où... Est-ce trop demander ? Bien sûr que c'est trop demander... Où ça te rend heureuse.

C'est le "shine" de la nuit qui te parle, là, celui qui est très... trop... amoureux... en manque... de toi. De la fille qu'il aime... De toi... "soly"...

Encore une "immondice gerbante", hein...? "soly" je t'aime, je n'en peux plus de ton absence, j'ai envie de toi... Mon coeur je ne veux pas de cette réalité foirée moi... Je veux vivre dans celle où tu es près de moi, pas dans celle où tu me détestes et où tu ne veux même plus de mon existence... Je sais que c'est de ma faute, je sais que j'ai pris un mauvais chemin... Mais... Je t'en prie écoute-moi... Pardonne-moi bordel, tu me manques horriblement, j'ai l'impression de vivre dans une fausse réalité qui a pris un chemin qu'elle n'était pas censée prendre... J'ai l'impression qu'on t'a arrachée à moi, je te sens tout le temps là, je sens tout le temps le vide de toi, l'envie que tu sois là, le besoin de toi, comme une immense place vide qui a ta forme à côté de moi. Je te sens tout le temps là, quelque part dans ce monde, mais loin, trop loin, je n'en peux plus et je ne peux rien y faire que je ne fasse pas déjà, moi, je t'aime ! Je t'aime tu entends !?

Putain je t'aime...

Je ne me souviens même plus ce que je voulais dire... Je suis dans un bus-couchette qui traverse le Cambodge, il y a deux françaises super belles en dessous de moi, et deux espagnoles encore plus belles à côté, et moi... Putain je pense à toi, à toi, encore à toi, ça fait deux ans que je pense à toi tout le temps...

En vrai tu es la seule avec qui j'ai assez envie qu'il se passe quelque chose pour avoir le courage de te le dire... Les autres j'ai envie parfois aussi mais pas assez, j'ai juste envie de cul avec elles et ça ne suffit pas à me donner le courage nécessaire pour provoquer quoique ce soit, ça n'a jamais suffi. Pire, je fuis quand une fille qui m'attire sexuellement s'offre à moi, même quand elle le fait avec insistance. Tu m'as demandé ce que je ferais à une époque où ça ne m'était pas arrivé, et ben maintenant ça m'est arrivé : je fuis, voilà...

Pff ma vie c'est du caca sans toi. Tout a un goût de vide depuis que tu ne me parles même plus, tout...
J'ai passé l'année la plus heureuse de ma vie jusqu'à présent cette année mon amour, et je l'ai passée à t'appeler, à t'appeler et à t'appeler encore, jusqu'à ce que tu me détestes pour ça... Mais je t'aime moi ! JE T'AIME ! Tu me manques. Tu me manques tellement... Tout le temps... Si je le répète tout le temps... C'est parce que c'est vrai tu sais.


Hum... Cette réalité où on est heureux, elle existe dans mes rêves au moins. Alors je crois que je vais cesser de t'écrire dans celle-ci pour ce soir et te rejoindre là-bas.

Je te souhaite quand même une bonne nuit dans celle-ci, pour quand tu dormiras. Je n'ai pas vraiment la moindre idée de l'heure qu'il est pour toi maintenant, je ne sais même pas où tu es.

Bonne nuit toi aussi.

dimanche 16 août 2015

Le changement, c'est quand ?

J'ai écrit ça, il y a quelques jours.

Une étrange journée encore, à l'intérieur de moi... J'ai passé sept-huit heures dans un bus, alors comme je n'avais rien à faire la machine à rêves s'est mise en marche, et comme d'habitude j'ai beaucoup, beaucoup rêvé de toi. Enfin... de scénettes où tu étais, et où la situation entre nous se résolvait.

C'est ce dont je rêve depuis plus d'un an : que tu sois là à nouveau. Même pas forcément comme la personne que je voudrais que tu sois, mais juste que tu sois là, que je parvienne à te rendre au moins cette envie-là : celle de partager du temps avec moi, comme à cette époque où j'adorais parler de tout et de rien avec toi, où je t'adorais déjà, toi, mais sans te dire à quel point car à l'époque je savais déjà ce qui allait se passer. J'ai relu mes écrits d'alors, ils en attestent, du fait que je savais que si je succombais à l'envie de te dire ce que je ressentais j'allais te perdre... Ils attestent du fait que c'est de ma faute, tout ça, que je t'ai perdue en pleine conscience, que je savais ce que je faisais : j'espérais un miracle. Je ne voulais pas te manipuler, je voulais te dire toute la force de ce que je ressentais, et même si je savais que ça ferait fuir n'importe quelle fille j'espérais que toi, ça ne te ferait pas fuir. Que toi, tu étais différente, au fond.

Et je l'espère toujours. Tu étais bel et bien différente, mais pas assez... Et moi... Moi je suis toujours là, je crois toujours en toi, même après avoir essuyé cette merde de ta part, je croirai toujours en toi... Parce que c'est ça que je veux : je veux croire que tu es une fille proche de celle que je cherche, une fille avec laquelle je peux tout partager simplement, à qui je peux tout dire, sans restrictions, comme moi je suis un mec à qui tu peux tout dire. Même si tu ne lui dis plus rien du tout...

Je t'aime, toi. Tu vois... Je voulais encore t'écrire quelque chose qui, j'espérais, te donnerait un peu envie de me reparler si tu le lisais, et je finis comme ça, en t'y écrivant encore "je t'aime" alors que je crois que c'est ce que tu ne veux pas lire...
Je suis désolé... C'est juste la vérité, c'est juste ce que je désire te dire le plus au monde.

Encore...

Mais je te promets que... Enfin, je n'ai pas besoin de promettre ça, tu le sais bien déjà... Je te promets que... J'ai envie de te voir, j'ai envie de te voir sourire, j'ai envie que tu sois bien, j'ai envie d'effacer toute cette merde que j'ai faite avec toi, j'ai envie que... Qu'on soit sur la même longueur d'onde bien sûr, mais surtout, que même si on ne l'est pas ça ne soit pas si grave que ça l'est...

Je te le dis tout le temps, c'est tout le temps aussi vrai... Tu me manques.
C'est peut être moins difficile à accepter que de te dire "je t'aime", ça ne veut pas dire des choses aussi irréversibles. Et pourtant c'est au moins aussi vrai : tu me manques "soly".

Je dois dormir, bonne nuit.
Je rêve de toi à chaque fois que je t'écris, et dans mes vrais rêves, ça se passe bien aussi en général. Enfin... En vrai il suffit que tu sois là pour que je trouve que ça se passe bien, la nuit. C'est juste le retour à la réalité au réveil qui est difficile sans toi.
Je voudrais bien te les dire encore, ces maudits mots.
Mais bon... Je me contente de les penser très fort, voilà, de toute façon je ne peux pas m'empêcher de les penser... Je ne veux même pas m'empêcher de les penser, ce sont eux qui me rendent un tout petit peu heureux.

Tu me manques beaucoup. J'espère qu'un jour j'arriverai au moins à me remettre à ton niveau, enfin, au moins à faire semblant, pour ne plus être à tes yeux ce fou qui court tout seul loin devant en appelant ton nom... Je voudrais être presque comme toi. Enfin, si comme je l'espère au fond de toi tu ne me hais pas autant que tu le montres. Je voudrais te considérer juste comme une amie, avec seulement un tout petit béguin pour toi qui me permettrait de faire avancer les choses de façon réaliste, pas être dans ce décalage immense et absurde...

Pff... Je te jure que tu me manques, que si un jour tu retrouves l'envie de revenir un tout petit peu vers moi je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour ne pas faire mourir cette envie. J'aimerais qu'elle ne soit pas aussi précieuse, mais elle l'est pour moi, ça tu me l'as bien montré...


(PS: Tu es revenue un tout petit peu vers moi depuis, et j'ai trahi cette promesse en l'espace de quelques mois. Je suis désolé, je n'y pensais plus, et j'ai agi encore une fois de façon stupide.)


vendredi 14 août 2015

Il n'y a pas de mauvais temps, il n'y a que de mauvaises gens

Naked in the bad weather, I'll keep on shining for your frozen heart, lonesome daughter of the cold winters...

This is what it means.

A fight never ends while we haven't both won it. Whatever we might think.

And I'll never give you up.
This is what it means.

Sometimes, you can choose to be happy.

Sometimes you can only fight for it.
And this is what I do.

jeudi 13 août 2015

Volage, voyages...

J'aime beaucoup les filles qui étaient mes potes cette année parce que contrairement à la plupart de celles que j'ai côtoyées elles étaient toujours partantes pour les plans pourris en mode aventuriers, au point que parfois c'était nous qui refusions ce qu'elles proposaient tellement c'était hardcore. Là où en général les filles que je connais auraient rechigné à dormir ailleurs qu'à l'hôtel (et à en sortir d'ailleurs), on a écumé avec elles les dortoirs d'auberges de jeunesse des quatre coins du Royaume-Uni, on a dormi à trois dans la voiture, sous une tente par 3 degrés en pleine nature avec une couette en guise de matelas, on a cuisiné au campingaz pendant des jours, on a fait la vaisselle dans la rivière, on a fait des randonnées bien escarpées de 20 bornes sur la journée, on a écumé tous les vieux pubs, les tavernes, les indiens, les turcs, les fast food pourris complètement bourrés à 5 heures du matin, on a essuyé la pluie, le froid, le vent... Et elles ont toujours eu le smile.

Tu aurais pu en être, je crois, tu es un peu de cette trempe-là aussi. C'est l'une des raisons pour lesquelles tu m'attires comme ça. Avec toi, ça aurait juste été tellement bien... C'était déjà super bien, mais avec la fille dont on est amoureux ce serait indescriptible, c'est clair. Tout serait indescriptible avec toi, si seulement tu étais heureuse d'être là...

Pff... Deux ans que je t'aime comme ça, deux ans que je pense à toi tous les jours, que j'ai envie de te parler tout le temps, enfin, envie que tu sois là en tout cas... Je voudrais une trêve à ton silence, une trêve à ta haine. Je voudrais que tu aies juste envie de me parler comme j'ai envie de te parler, comme tu en avais envie avant. Tu me manques. Je ne te le dirai jamais assez.

En ce moment je suis au Cambodge, et c'est l'été. Ça me rappelle beaucoup la Thaïlande, c'est le même genre de pays, chaud, humide, pauvre, dangereux, tout pourri... Tu détesterais sûrement, moi j'adore. Ça me rappelle surtout la Turquie pour d'autres raisons : il y a un an j'étais en voyage là-bas et c'était super, mais c'est là-bas que j'ai craqué un câble et que je t'ai perdue à force de t'écrire tout le temps... Aujourd'hui, un an plus tard, je suis à nouveau en voyage au loin, et je pense toujours autant à toi, je t'écris toujours autant d'ailleurs... Mais ce que je t'écris je ne te l'envoie plus. En un an j'ai presque tout perdu de toi. Moi, je suis toujours le même, je ressens toujours les mêmes choses pour toi, je les ai toujours ressenties... Mais toi... Toi regarde ce qu'il s'est passé dans toi envers moi... Si tu es honnête avec moi tu m'as détesté, au point de m'ignorer tout ce temps, tu as essayé de me faire mal, au point de m'avoir insulté comme du poisson pourri, d'avoir insulté jusqu'à mon coeur en insultant mes messages d'amour pour toi... Et me voilà, un an plus tard, toujours amoureux de toi, de l'amie que tu étais avant toute cette histoire que j'ai provoquée en Turquie il y a un an d'ici, essayant au Cambodge comme je peux de réparer les choses. En pensant toujours aussi fort à toi, très fort, mais sans plus rien t'envoyer, sans plus rien te dire directement malgré la puissante envie que j'ai de le faire, malgré la puissante envie que j'ai que tu m'entendes crier que je t'aime si fort, ici au Cambodge comme en Turquie l'année dernière.

Je ne sais plus du tout comment faire autrement avec toi. J'avais besoin que tu le saches, cet amour un peu fou pour toi, alors j'avais besoin de te le dire, mais je voulais pas te perdre... Je voulais te changer un peu, que tu voies en moi autre chose qu'un "simple pote", mais sûrement pas perdre ton amitié, c'est le contraire que je voulais moi, que je veux toujours, c'est de la rendre plus profonde en toi cette amitié, un peu comme elle l'est chez moi pour toi...

Tu seras bien obligée de le reconnaître, qu'elle est toujours là après tout ça. Que toi tu as peut être voulu me faire mal, et inutile de mentir pour faire le mec solide tu as réussi, mais que je ne t'en garde pas rancoeur, parce que ce que moi je veux c'est juste de vivre un peu de bonheur avec toi, c'est juste que cette fille elle se rappelle au moins qu'elle a un ami en moi, peut être amoureux, peut être complètement fou d'être amoureux dans ces circonstances, mais un ami quand même.

Et... J'aimerais bien avoir aussi à nouveau une amie en elle... Enfin... Ou qu'elle me le montre un peu si c'est toujours le cas...

Et puis je voudrais terminer ce message d'une façon qui te plaise, parce qu'en vrai même si je ne sais pas si tu le liras un jour c'est pour toi que je l'écris...

Tout ce à quoi je pense là maintenant, c'est que quand je me lèverai dans quelques heures il fera près de 40 degrés dans l'atmosphère étouffante et polluée de Phnom Penh. Je crois qu'alors je donnerai beaucoup pour respirer un peu d'air frais en haut du Preikestolen. Si je pouvais en plus y avoir le sourire de solyfal, il n'y aurait pas pour moi de plus bel endroit au monde.

dimanche 9 août 2015

Un peu de manque et d'envie

Que dire... Je t'aime... J'ai envie de ta présence, de te sentir exister.

Mon coeur... Je ne fais que survivre sans toi. Je veux tellement que les choses soient différentes, je veux tellement l'effacer, ce décalage...

J'ai envie... Je ne sais pas quoi t'écrire pour essayer de ne plus te faire fuir.

La vérité crûe c'est que j'ai envie de tout vivre avec toi.

Je t'aime.

samedi 8 août 2015

Des tranches de vie rêvées

Je viens encore de faire un rêve éveillé avec toi. J'aime bien ces rêves éveillés, parce qu'ils se terminent toujours bien. J'en fais tout le temps. Ils me permettent de garder espoir, je crois, de voir la réalité différemment, telle qu'elle pourrait être et pas seulement telle qu'elle est.

On se parlait, je ne me souviens plus vraiment ce que l'on se disait. Mais on se comprenait, au moins. On s'excusait l'un à l'autre, aussi. Et on se pardonnait l'un l'autre, on se pardonnait vraiment, parce qu'on en avait vraiment envie.
Je te demandais pourquoi tu me détestais.
Tu me répondais que je t'avais harcelée pendant un an.
Et au lieu de me défendre je te demandais simplement pardon, comme je l'ai fait à la toute fin.
Alors tu me demandais pardon à ton tour, comme tu l'as fait au tout début.

Est-ce que je t'ai jamais vraiment pardonnée de ne pas être la fille que je voudrais que tu sois ?
Est-ce que tu me pardonneras jamais, toi ?
Je voudrais tellement comprendre ce que tu as à me pardonner, pourquoi tu es devenue comme ça...

Je me répète, je sais, mais je n'ai jamais voulu te faire du mal. Si c'est ce qu'il s'est passé, je n'ai jamais voulu non plus te mettre en conflit avec ta compassion pour moi, parce que ta compassion je la respecte et je trouve qu'elle fait de toi une belle personne, mais pour moi-même je n'en veux pas. Ce que je veux dans ton coeur c'est ce qu'il y a dans le mien. J'ai aussi de la compassion pour toi, cette même compassion qui me fait me sentir mal du fait que tu te sois sentie mal à cause de moi, mais moi je suis un homme et dans le coeur d'un homme ce n'est pas incompatible avec le désir.

Hier, j'ai rêvé que tu avais accepté de me rencontrer pour prendre un verre. On avait convenu qu'on ne parlerait pas de tout ça, qu'on se rencontrerait juste comme deux amis sans prise de tête, comme avant. Mais on en a parlé quand même, et on a tout démêlé. Tu t'es mise à sourire quand je t'ai dit que ce que tu ressentais pour moi je le ressentais aussi pour toi : tu étais une amie avec qui j'aimais beaucoup partager, simplement, tu n'étais pas seulement une amie de mon côté, tu étais beaucoup plus.

vendredi 7 août 2015

Un réveil à côté du vide de toi

C'est encore l'un de ces matins au réveil, alors que j'ai rêvé de toi, alors que je pense à toi. Je cherche, comme toujours, un moyen d'attendrir ton coeur. Non pas pour qu'il éprouve de la pitié, non, ta pitié je n'en ai jamais voulu, tu peux la garder. Mais pour qu'il éprouve ce que le mien éprouve. Ou quelque chose qui y ressemble, quelque chose de compatible.

Mais comment faire ? Voilà un an que j'essaie à ma manière, en t'écrivant mes sentiments pour toi, en te montrant qu'ils ne faiblissent pas et que j'ai réellement envie de toi, que je dépasse mes peurs, que j'ai envie de changer pour toi jusqu'à réussir à te plaire, comme toi tu me plais. Qu'est-ce que je dois faire pour juste que tu oublies cette rancoeur que tu sembles avoir pour moi et que tu aies envie aussi... Je ne sais pas... Qu'on discute tranquillement autour d'un verre, qu'on essaie, au moins... ? Comment faire pour que tu aies envie de me parler à nouveau, pour avancer un peu avec toi en somme, quand cela fait si longtemps que tu réagis comme tu l'as fait avec moi ? À tout problème il y a une solution, mais elle est où la solution à ce problème-là... Je veux la trouver, moi, je veux que tu reviennes...

Tu me manques, je te l'ai dit tellement de fois mais c'est tellement vrai, tu me manques tout le temps...

Je viens de me réveiller, seul dans un grand lit, et tu vois quand tu as dis que je te voulais dans mon lit tu avais raison... Il y a un grand vide à côté de moi. Et c'est toi qu'il appelle toujours... Tous les matins je me réveille avec lui, sans toi, tous les matins j'ai envie de tout faire pour réussir à t'avoir toi à sa place, tout... Je ne sais même pas si tu peux imaginer comment c'est, le coeur d'un homme à qui l'amour manque depuis si longtemps que moi. Je t'aime, je ne sais pas te le dire mieux, je ne sais pas comment te le dire pour que tu l'entendes, je t'aime, de tout mon coeur.

Regarde... Mais regarde... Je t'aime toujours. Tu m'as fait tout ça, et moi, je suis toujours là... Je devrais faire quoi, faire semblant de te jeter, faire semblant que mon amour-propre est plus important que mon amour ? Ça n'aurait jamais eu de sens pour moi, de faire ça.

dimanche 2 août 2015

Là où l'amour se souvient de lui-même

Voilà ce qu'il se passe : tout ce que tu me montres de mauvais, ton silence, tes insultes, ton mépris, ta haine, je le mets tout le temps à la corbeille. Moi, je me souviens de la fille que tu étais avec moi il y a un an ; je me souviens d'une fille gentille, souriante, avec un univers adorable que j'aimais énormément partager. Je me souviens d'une fille dont la simple présence mettait un sourire sur mon visage. Je me souviens d'une course d'éoliennes, de neige, de patin à glace, d'amour pour les paysages fantastiques qui crèchent sous les ciels blancs des pays du Nord, d'un sourire en laine pour une amie, de cabanes perdues sans chauffage hormis celui qu'on y apporte, d'amour pour un pc fait de ses mains, d'un sourire dans une barque sous la pluie et le froid, d'un feu de cheminée, même. Je me rappelle de plein de choses de cet ordre-là, de choses qui me donnent envie d'être heureux quand je me souviens de la personne que tu étais et que, quoique tu fasses, tu seras toujours dans mon coeur à moi, parce que tout ce que tu me montres de négatif depuis que je te dis "je t'aime", je m'en fiche presque, ce ne sont pas des choses qui s'encrent en moi contrairement au reste. Ce sont juste des choses que je voudrais apaiser pour qu'elles me laissent la fille dont je suis tombé amoureux. Moi, je croirai toujours que tu en vaux la peine, pas seulement parce que c'est ce que je veux croire, mais aussi parce que je le sais déjà depuis longtemps.

dimanche 26 juillet 2015

Là où l'amour s'excuse d'exister au vide qui s'est excusé d'être vide

Je suis désolé...

Moi aussi...

Je voudrais que tu reviennes, que cette fille adorable que tu étais revienne et chasse la fille que tu es devenue à cause de moi. Bien malgré moi je te l'assure, je ne vois pas pourquoi j'aurais voulu détruire la personne que j'aime, et je ne vois même pas vraiment comment mes "je t'aime" ont pu la détruire. Peut être parce que je ne veux pas le voir, peut être parce que l'injustice est trop grande pour que je l'accepte, ou peut être que je ne le comprends vraiment pas.

Et je continue ici parce que c'est vrai : je t'aime, je t'aime plus fort que quiconque aimera jamais, d'un amour qui résiste à tout, même à ce que tu m'as fait, même à ta disparition. Je t'aime et tu me manques...

Comment ne peux-tu voir qu'un monstre en moi ? Comment peux-tu être aussi aveugle ? Est-ce que ça ne veut vraiment rien dire de bon pour toi, ce sentiment qui est pourtant le meilleur pour moi ?

Tu me manques, je te le jure. Je te jure aussi que je ne te veux aucun mal, et que quelque soit le mal que toi tu peux me vouloir je ne t'en voudrai jamais aucun... C'est juste que je t'aime très fort et que j'ai besoin de te le dire... C'est juste que l'amie dont je suis amoureux me manque, elle a été remplacée par une fille silencieuse qui ne l'ouvre que pour m'insulter, et cette fille je ne la connais pas bien : je sais juste qu'elle fait partie de la personne que j'aime et qu'il faut composer avec elle.

Alors j'attends, que mon amie revienne. Qu'elle se rende compte de l'erreur qu'elle fait avec moi.

Je suis désolé. J'ai crû bien faire en te disant mon amour. Et puis je n'avais même pas vraiment le choix, regarde-moi, j'ai tellement besoin de te le dire que je te l'écris ici pour ne plus te faire mal.

Et moi... Ça me fait encore plus mal que tu ne m'entendes pas que de me faire insulter par la personne que j'aime.

samedi 25 juillet 2015

Là où l'injustice crie à elle-même

Voilà près de deux ans que je suis amoureux d'une fille qui me hait depuis un an environ pour cela, parce que je le lui ai dit presque chaque jour.

Elle était ma confidente et moi son confident alors. Aujourd'hui j'ai l'impression d'être son pire cauchemar.

Il ne se passe pas un seul jour, presque pas une seule seconde sans que je meure d'envie de parler avec elle, de la serrer dans mes bras, de la voir sourire ; quant à elle, elle ne veut même plus me voir en peinture, elle m'a ignoré, insulté, menacé... Comme si mon amour trop grand pour elle avait transformé la fille que j'aime en une boule de haine envers moi.

Pourquoi faut-il que ma vie soit si absurde ? Voilà 25 ans que j'attends de tomber amoureux, au point qu'à l'âge de 21 ans je suis tombé en dépression et j'ai détruit ma vie à force de ne pas trouver une personne que j'aime. Alors pourquoi faut-il que pour une fois que ça m'arrive ça se passe si mal ?

Mais surtout, je dois faire quoi pour que ça se passe bien mon amour ? Je dois faire quoi pour avoir le droit de t'appeler "mon amour" ? Alors que c'est pourtant ce que tu es : je t'aime, moi...

vendredi 24 juillet 2015

Là où le vide appelle le manque qu'il crée

Bonsoir toi.

Je t'ai promis de ne plus t'envoyer ces courriers amoureux que tu hais, mais j'ai toujours besoin de te les écrire, tu sais... De te parler même si tu ne m'écoutes plus depuis tout ce temps évidemment... J'ai besoin que tu m'entendes crier dans le vide... Parce que je t'aime. Parce que c'est ton nom que je continue de crier en silence.

Je veux bien croire que tu ne le comprennes pas... Moi non plus je ne le comprends pas vraiment, mais bien sûr que je t'aime. Crois-tu que j'aurais tenu un an sous les coups de ce que tu m'as fait subir si tout au fond de moi je ne croyais pas en toi ?

Si je t'écris ici aujourd'hui c'est parce qu'encore une fois je t'ai vue. Je te vois tous les jours, tout le temps. Comme si le monde entier me disait chaque jour "tu l'aimes : ne l'abandonne pas".

Ma soeur a voulu qu'on regarde ce dessin animé, "inside out"... Je ne raconterai pas l'histoire, mais à un moment donné, il y avait cette scène, il y avait cette fille que j'aime avec ses cheveux bleus, "Joy", qui regardait un souvenir précieux de la fille châtaigne dans la tête de laquelle elle habite, en train de faire du patin à glace.

Je regardais cela, et qui d'autre que toi aurais-je pu y voir ?

Tu sais bien que je t'aime.

Peut être pas la personne que tu es devenue au contact de mon amour pour toi, peut être pas cette boule de haine que je ne comprends plus, mais la fille que j'aime elle habite en toi, et je veux la faire revenir un jour. Et je ferai tout pour y parvenir le temps que je voudrai y parvenir, car cette fille avant de disparaître et de commencer à sembler me haïr elle a gravé ces deux phrases dans mon coeur :

Un combat n'est jamais terminé le temps qu'on ne l'a pas gagné. Quoiqu'en pense l'autre personne.

Je ne sais pas ce que cela vaut dans les combats motivés par la haine, mais mon combat à moi est motivé par ce que je ressens, et ce que je ressens, c'est de l'amour. Alors je crois que c'est un bon proverbe, mon coeur.

N'aurai-je jamais le droit de t'appeler mon coeur ? N'aurai-je plus jamais droit qu'à tes insultes et plus jamais à tes sourires ? Ce combat ne se terminera-t-il jamais ? Ou parviendrai-je à le terminer un jour ?

Je l'espère. Je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour, en tout cas. Je t'aime.