samedi 19 septembre 2015

Envie de toi

Je t'aime.

Je pense à toi, avec encore beaucoup de manque et d'envie. Tout ce manque, et toute cette envie qui est la mienne et qui s'est construite au fil des années, tout ça, mon coeur, c'est pour toi.

Cette nuit je vais encore rêver de toi pour être moins triste, et demain je me réveillerai encore sans toi, pas vrai ?

Dis, toi que j'aime, toi qui est la seule fille à qui j'ai envie d'avoir le courage de le dire en te regardant dans les yeux : "je t'aime" ; dis-moi quand se terminera ce cauchemar de ton absence ? Quand se termineront ta fuite, ton dégoût, ton silence ?

Je t'aime.
L'envie, je la combattrai encore un peu ce soir, en demandant à mes rêves de seulement t'embrasser.
Pardonne-moi... Je fais vraiment ce que je peux pour que tu reviennes, mais j'échoue jour après jour. Un jour je remporterai cette bataille avec toi, c'est trop important pour moi, tu vois ?
Je t'aime. Encore une fois. Ose appeler ça un amour qui n'existe pas.
Tout mon corps t'appelle, je t'aime de tout mon coeur.

vendredi 11 septembre 2015

Tu me manques la nuit

Je suis encore là, à serrer mon coussin contre ma poitrine en pensant à toi. J'ai toujours ce froid mordant dans mon coeur, ce vide, cette envie extrême que tu sois là. J'ai envie de te parler, j'ai envie que tu me parles surtout...

Pourquoi tu ne le ressens pas, toi ? Tu ne le ressens vraiment pas ? C'est possible que ce soit si fort en moi et qu'en toi il n'y ait vraiment plus rien d'agréable à ressentir pour moi ? J'en ai marre de m'apitoyer tu sais... Mais c'est juste tellement injuste cette situation, c'est juste tellement nul... Regarde...

Tu ne le sens pas, ce sentiment ? Il est immense en moi, et il est pour toi. Il devrait juste te rendre heureuse aussi, c'est vraiment pour ça qu'il existe, pour nous rendre heureux tous les deux... C'est pour ça qu'il existe...

Je t'en supplie change... Juste un tout petit peu, juste... Parle-moi... Comme avant, comme quand tu le savais pas qu'il était pour toi mon coeur... Tu me fais mal... Je suis blindé et je peux supporter d'avoir très mal tout en restant debout mais ça ne m'empêche pas d'avoir mal... Change...

dimanche 6 septembre 2015

Je t'aime, 2

Je t'aime soly. J'ai l'impression de me recueillir sur une tombe à chaque fois que je te le dis, tant tu es loin de moi maintenant.

Je sais que je n'ai pas le "droit" de te dire ça parce que c'est n'importe quoi de te dire ça mais, je t'aime mon amour...

Ce serait tellement bien un monde où j'ai le droit de te dire ça, ce serait tellement bien si je parvenais à transformer ce monde en un lieu où j'ai le droit de te dire "je t'aime", où j'ai le droit de t'appeler "mon amour"... On en est loin de ce monde, pas vrai ? Beaucoup trop loin...

Enfin il existe un tout petit peu, lorsque je ferme les yeux, et dans ce blog. Au moins je ne te le fais plus subir contre ton gré, ici, enfin plus trop, et il existe quand même un petit peu et si tu veux y entrer tu le peux, moi je t'y invite évidemment.

Il faut juste que tu mettes un casque de protection si tu crains les "je t'aime" qui te sont destinés. Parce que pour être honnête, le manque de toi et le manque de "faisage de bébés" sont immenses. Ils se couplent l'un l'autre en moi, et me font dire en pensée des choses qui te sembleraient à toi des horreurs, des "j'ai envie de toi" qui veulent tout dire à la fois. Ils me font rêver ces rêves dont on a parlé, dans lesquels j'essaie toujours de te respecter, moi, au moins de te laisser tes vêtements comme tu m'as demandé même si maintenant ça semble un peu dérisoire...

Je t'aime mon coeur. J'utilise cet endroit pour te le dire sans trop de restrictions, comme ça je suppose que si un jour tu reviens vers  moi tu ne m'entendras pas trop le dire et ça te gênera moins... Je t'aime de tout mon coeur, qui se souvient de toi après un an, qui se souviendra toujours de toi tu sais...?

Toi est-ce que tu m'oublies vraiment, maintenant que je te fiche la putain de paix ?

Moi... Je t'aime.

samedi 5 septembre 2015

Je t'aime...

Je t'aime, vraiment. Je t'aime tellement fort :/

Change un tout petit peu ton coeur je t'en supplie. Tout est vide depuis que t'es pas là, je n'en peux plus moi... S'il te plaît regarde moi... Ça fait deux ans que tu hantes mes nuits et mes jours, je ne t'ai jamais menti tu sais, je ne te mentirai jamais... Je t'aime... Ces sentiments que je te dis ils sont vraiment là depuis que je te connais, ils me rendaient vraiment heureux quand tu disais que ça te rendait heureuse qu'on passe du temps ensemble, oui, même si c'était que virtuel... Moi ça ne m'empêche pas d'éprouver des choses très puissantes pour toi, tu le sais bien, tu l'as toujours su...

"Soly"... Je t'en prie arrête de me laisser, arrête de m'ignorer et de dire que ça te concerne pas, de me détester et de m'insulter quand tu daignes encore m'adresser la parole... Je suis désolé, je te jure que je suis désolé de t'avoir mise mal avec tous ces messages... Je le regrette tout le temps, même en t'écrivant je le regrette. Parce que je t'ai perdue et je te sens tellement loin maintenant, mais je sens toujours autant d'amour pour toi, moi, et tu me manques depuis tout ce temps...

Je dois faire quoi pour que tu arrêtes de m'ignorer, pour que tu aies envie toi aussi, ne serait-ce qu'un tout petit peu, de me reparler ? Dis-le moi je t'en supplie, dis-moi ce que je dois faire pour ça, tu me manques "soly", si seulement tu étais capable de sentir à quel point tu me manques sans que ça te fasse me prendre pour un taré à fuir à tout prix...

Je n'aime pas te supplier, mais tu me laisses quel autre choix, moi ? Je crève du manque de toi, j'en ai marre que ça te fasse peur mais c'est la vérité : tu me manques limite à en crever... Je t'en supplie reviens... Je voudrais qu'on parle de vive voix, parce qu'au moins à l'oral ce serait tellement difficile de te dire tout ce que j'ai sur le coeur que tu aurais l'impression que je suis juste un pote, puisque c'est ce que tu voulais...

Je suis prêt à faire semblant d'être juste un pote moi si ça te fait revenir, je suis prêt à presque tout si ça te fait revenir, mais je t'en supplie reviens...