mercredi 20 janvier 2016

Reliquats 2

Je viens de retrouver ça dans mes fichiers : ce sont des sauvegardes de mon topic à cette époque.

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Et :)
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(Tu es moins prolixe ces temps ci... Un peu plus irl?)

Un peu plus irc surtout :lol:

Mais oui mes journées ont été pas mal remplies ces derniers jours, puis surtout la raison pour laquelle j'utilisais ce journal ces derniers temps n'existe plus, je préfère parler directement à la personne concernée plutôt que de parler au vide.
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(Tu as renoué avec K?)

J'ai jamais dénoué avec qui que ce soit, concernant kay on a juste arrêté de se "voir" sur un commun accord sachant que ça finissait par me défoncer gravement IRL. Elle reste en quelque sorte mon ange gardien depuis lors, la personne formidable dont l'existence assure que je reste en vie car en réalité, si je perds à nouveau tout espoir dans le monde réel, elle sera encore là dans le virtuel, où ses bras tout imaginaires qu'ils soient constituent le "dernier refuge" dans lequel je sais qu'il sera toujours agréable de fermer les yeux sur la réalité si j'en ai encore besoin un jour. Quant à elle elle n'a jamais "besoin" de moi, elle est bien trop stable et sage pour ça. C'est d'ailleurs pour ça que l'histoire se termine bien, car si elle avait autant besoin de moi que je peux avoir besoin d'elle on aurait été confronté à une situation absolument sans issue.
Mais non, rien à voir.
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Putain mais à l'aide bande de connards.
Ma pire peur au monde est en train de se réaliser et je peux pas faire face à ca tout seul. Je peux pas faire face à ca du tout...
Nan sérieux toi ta gueule et va te faire foutre s'il te plait.
Mon coeur comprend même pas comment ca peut être logique un truc pareil. Au fond de lui, il croyait qu'il était la plus belle chose du monde, qu'au moins si tout le reste était à jeter ce n'était pas son cas. Maintenant il reste quoi de moi ? L'envie de me lever et de faire des trucs que j'ai eue cette année vient de me quitter. Pas définitivement, j'espère, parce que oui j'espère encore, et toujours, j'espérai jusqu'à ma mort.
Ta gueule. Meurs en silence, car c'est ce que tu mérites de mieux.
La vie de ceux qui n'en ont pas est une aventure palpitante. Putain comment je vais faire maintenant pour me lever et aller bosser l'année prochaine ? J'ai à nouveau envie de crever en dormant sur mon lit.
Ca allait bien jusqu'à maintenant. Mais la raison pour laquelle ca allait bien n'en était pas une.
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J'ai mal un peu quand même :\
Je sais que si je veux que ça aille où que ce soit il faut que je garde le silence absolu, même dans ce journal, mais je veux pas faire ça...
Nous les mecs on n'a pas le droit d'être soumis à nos sentiments, en fait on a limite pas le droit d'en avoir. Il faut toujours « faire croire qu'on s'en fout », parce que les filles semblent être naturellement attirées par le fait qu'on s'en foute (ou plus exactement qu'on s'en foute d'elles) et ont peur de l'inverse. C'est absurde... Puis je ne suis pas cette personne, et je ne veux pas l'être. Ni même faire semblant que je le suis. J'veux pas faire semblant ><
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Rêve éveillé sous la douche tout à l'heure. L'eau tiède qui percute le crâne, éclate et s'écoule en une caresse enivrante comme une brise d'été qui enveloppe le corps et l'esprit est propice aux errances de l'imagination.
Elle est de l'autre côté de la vitre, et elle me regarde. Elle me regarde seulement, et ne s'avance ni ne recule. Je me sens comme enfermé dans ma prison de glace d'une moiteur étouffante. Ses yeux ne trahissent aucune émotion, alors pour en révéler la lueur je porte ma main contre ma bouche, y dépose un baiser aussi doux que je parvienne à le faire, l'étend vers elle et souffle délicatement dans sa direction.
Mais le souffle se brise net contre la vitre qu'il embue en y mourant. Dépité, je pose ma main contre la buée, et tandis qu'elle descend lentement en l'effaçant dans le son caractéristique que produit le glissement des doigts contre la vitre humide, elle efface avec elle le rêve de la personne que j'aime.
Mes yeux se dérobent, ma nuque se dérobe, mes jambes se dérobent. Je me laisse tomber en arrière, mon crâne heurte le mur.

Nuit noire. Pluie tiède.
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Pensée de la nuit.

Je m'en fous que ça serve à rien, en vrai si je ne t'avais pas dis que je ne le ferai plus je t'enverrais ces pensées directement au lieu de les mettre ici où tu n'es pas censée les lire. Juste parce que j'en ai envie et que pour moi l'envie spontanée prévaut sur le calcul des conséquences, sur la « manipulation » comme je l'appelle.

Peut être parce qu'au fond je suis fatigué de tout calculer tout le temps et qu'avec les gens je ne veux pas le faire, je veux juste être assez en confiance pour...

Tiens combien de fois je me suis dis que j'étais trop moche et pourri aujourd'hui ? J'ai même fait une crise de phobie sociale sur hangout à un moment... J'en suis toujours à me demander si au fond je suis aimable. Et le pire c'est que je ne peux pas avoir la réponse à cette question, parce que bien sur je n'accepte pas la réponse négative, étant donné que si c'était la bonne il ne me resterait vraiment plus qu'à me suicider plutôt qu'à continuer de subir ma vie plus longtemps « pour rien ». C'est quoi cette situation où on pose une question en se pointant un flingue contre la tempe ? On ne peut pas avoir une vraie réponse à une telle question, on ne peut se fier qu'à son expérience.
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Je déteste avoir le rôle de la victime. Fut-ce de moi-même.

Mais fuck, je déteste encore plus faire semblant comme cette humanité de merde pour laquelle la "fin" justifie les moyens. J'ai encore un peu réfléchi à tout ça aujourd'hui ; je veux un chemin, et non un but. Ou plutôt, mon but est un chemin, et le chemin à emprunter pour parvenir à mon but exclut de passer par le chemin d'un mec normal qui veut des trucs normaux de mec normal.

Je veux ta volonté, et certainement pas une volonté qui viendrait de moi et déguisée pour la faire passer pour la tienne. Je ne sais pas si tout ça semble compliqué, mais c'est en vérité très simple. Je déteste tout simplement l'idée que ce qui vient naturellement de moi ne vienne pas naturellement de l'autre, et tout comme l'autre n'a pas besoin de se travestir pour créer ce qui vient de moi, je ne veux pas me travestir pour créer ce qui vient de lui.

En d'autres termes, je veux rester franc, même si c'est largement "contre-productif" pour une personne normale.
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For some people, being lonely is being single. Do you need anybody ? I need somebody to love. Could it be anybody ? I want somebody to love... Still... I already "love" someone, that girl has never left my fucking mind for something like six monthes now. And the worst thing is, I don't even want anyone else, and I don't even want to want anyone else either. What the fuck is wrong with me ? What is the big deal, I don't even "really" know her, I have clearly shocked her trying to tell her my feelings that anyone would find absurd, and still...
And still I am here, all alone in front of my screen just trying to reach someone that I couldn't reach in real life, I am not sure I could reach anyone in real life. I am not even sure my brain isn't corrupted somehow and I might never be able to be just fine with real people. I don't know whether I'm too ugly, or too shy, or both, but what I can tell is that I hate the outcome. Seriously. I wish I "really" knew somebody I love, I wish I could just be with this person right now, and for the rest of my life. I wish I would never be lonely again and my sweetheart too, I just wish I could live a nice life as I feel it, but gosh, not this one I have had until now ! ><

Franchement, ce serait juste tellement bien... Tellement bien si... Si tout le monde avait juste... Putain. Sérieux, comme vous pouvez kiffer ça ? >< J'veux vivre dans un autre monde, où les gens sont mieux.
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Peter Pan.

Comme Peter Pan, ce que je n'ai pas, je rêve que je l'ai, et parfois même je rêve que je rêve que je l'ai.

Je m'imagine seul dans mon appartement, un soir. Je prépare un bon repas et dresse une jolie table aux chandelles sur laquelle deux couverts se font face. Puis lorsque le repas est prêt je m'assieds devant mon assiette, me sers à boire et à manger, puis j'imagine qu'elle est là, qu'elle s'assoit à l'autre couvert, qu'elle sourit et qu'elle est heureuse. Mais contrairement à Peter Pan ça ne marche qu'un instant ; je reviens à ma réalité imaginaire, seul, et je meurs dans mon assiette.

Je cultive la tristesse, parfois. Elle est terrible, mais je la trouve jolie. Plus jolie que le vide.
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Je voulais juste dire qu'ici comme IRL c'est pas tellement de potes que je manque, mais si vous vous proposez désolé mon coeur est déjà coincé ailleurs :o

(On va me frapper pour l'avoir sortie celle-là u_u)
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Ben en vrai la seule personne que j'ai vraiment la frousse de rencontrer est la personne en question (et d'ailleurs inconsciemment ou pas je me suis arrangé pour que ça ne se fasse pas en lui balançant mes sentiments à la gueule quelques semaines avant que ça devienne une possibilité, même si dans ma tête il s'agissait quelque part d'être franc pour qu'elle sache à qui s'en tenir dans ce cas de figure).
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J'en peux juste plus...

Pourquoi tu m'entends pas ? Pourquoi ça fait mal depuis si longtemps ? Pourquoi ça se passe mal comme ça ? J'veux pas que ça se passe mal moi... J'veux juste que ça se passe bien au contraire !

J'en ai marre, ça m'a rendu fou, j'veux pas être fou, j'aurais jamais dû l'être, ça aurait jamais dû se passer aussi mal, ça aurait juste dû bien se passer, et ça aurait été trop bien. Je hais cette vie.
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C'est quoi une vie où seuls nos rêves sourient vraiment ? C'est mieux que rien ?
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:)

<3 mais :)

La météo est pleine de bonnes surprises par chez moi, en fait ^^
(PS : Au moment où j'ai écris cela soly venait de m'envoyer quelque chose de très agréable)
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(Calling your name I hear only echo.)
Non amour je ne t'idéalise pas. Simplement je t'aime et je suis heureuse que ton cœur me laisse entrer et sortir au besoin comme cela. Tu es un ange ; si tu n'existais pas je crois que j'en mourrais.
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Mes anciens amis de mon école vont être diplômés maintenant. Moi, je suis mort il y a trois ans. Mort à cause de toi, à cause de ton absence. Je ne te le pardonnerai jamais.
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Note à moi même : la prochaine fois que tu bades insondable connard, ravale ton égocentrisme et tes peurs mal placées. Tu peux parler des choses qui te font peur, mais surtout, SURTOUT, ne cherche pas à résoudre ces peurs d'une mauvaise manière.
(PS : la peur en question était que soly s'éloigne de moi, au moment où j'ai écris cela soly venait de me reparler pendant toute une nuit)
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Il y a une "courbe de l'état Shinesque" qui s'est mise en place de façon assez claire ces derniers temps et qui suit le déroulement d'une journée à quelques variables près.

De manière générale je me sens bien pendant la journée. Si je sors faire un peu de sport ou que j'ai des échanges agréables avec les gens je me sens encore mieux.

Le soir deux cas de figure peuvent se produire : soit j'ai un échange que je ressens comme agréable avec la personne qui tient un peu l'élastique de mon moral sans trop s'en apercevoir depuis un bon moment maintenant, auquel cas jusqu'à ce que je m'endorme je suis super bien, soit j'ai un échange que je ressens comme désagréable auquel cas je bade à mort jusqu'à ce que je dorme.

Le matin de façon constante mon état est bizarre, un genre de down dont je ne veux pas sortir, car il vient du décalage entre rêves (d'amour, what else) qui me rendent super heureux mais de façon fantasmée et réalité qui me plombe complètement par rapport à ces rêves que je ne veux alors pas quitter, au point de rester parfois 4 ou 5 heures dans mon lit sans vouloir en sortir.

Lorsque je finis par me lever, cet état d'esprit perdure mais se transforme doucement en pensées positives (et non plus en décalage immense et désespérant d'impossibilité). En fait dans ma tête le fait d'entrer dans la réalité tout en restant "connecté" à mes rêveries les rend plus "réelles" et agréables sur les deux plans.
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C'est une étrange situation.

Dans mes rêves sans repos je marche, mais je ne suis pas seul. Tu es là et nous échangeons des mots en silence. Des mots qui ne peuvent pas se dire, ni même s'écrire. Des mots silencieux.

C'est toi et pourtant ce n'est pas toi. C'est toi telle que mes rêves te voudraient, et pourtant ce n'est pas toi telle que mon cœur te veut. C'est une âme édulcorée, volatile, incomplète. Un fantôme qui porte ton visage, dont l'amour trop facile est le seul intérêt.

Je suis fou sans doute. Je pense toujours trois ans en arrière, à ce que j'ai quitté. Je ne sais jamais si je regrette vraiment. Au fond... Enfin je ne te ferai pas l'affront de l'écrire, mais je le pense.

C'est une étrange situation, d'écrire ça ici. C'est à toi que je voudrais l'écrire. Et pourtant si je le faisais j'écrirais les choses différemment, de façon moins naturelle, plus calculée sans doute, car ne pouvant pas me dédouaner de l'enjeu d'un tel message : ta considération. Ici quelque part c'est mon espace, tout le monde lit, mais personne n'est censé le faire, sauf la personne qui y est explicitement contre-invitée. C'est idiot...
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Je t'aime et j'ai besoin de toi.

Oui, besoin... Je sais que je suis censé faire semblant que ce manque n'existe pas. Mais fuck, sérieux, il a détruit ma vie.
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Une citation du jour n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd. Enfin, dans l'oeil d'un aveugle... Faites de jolis rêves ! Pour moi, je ne m'inquiète pas.
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Il y a deux types de personnes dans ce monde : celles qui acceptent la réalité et celles qui ont la puissance de la modifier.
J'aurais aimé ne jamais avoir à choisir, j'aurais aimé que la réalité me satisfasse tout simplement, comme c'est le cas pour celle que je suis allé chercher avec kay dans secondlife.
Mais ce n'est pas le cas ici bas. Ce n'est pas le cas du tout et j'ai bel et bien à choisir. J'ai choisi une fois d'accepter en me suicidant et en allant voir « ailleurs ». Et bien j'ai vu, et j'ai vu que c'était immensément mieux ailleurs. Mais cela je ne l'accepterai jamais. Maintenant je ferai tout pour que la réalité devienne aussi bien, TOUT, sans perdre de vue ce que je veux en allant me perdre où je ne veux pas aller comme ces pauvres hères dont je te parlais hier, jusqu'à la fin.
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J'ai rêvé de toi cette nuit. Je t'aime.

Ça vient de me prendre dix minutes de décider de l'ordre d'arrangement de ces mots.
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Merci Tina t'es gentille tu sais :)

C'est juste un peu plus le bordel que d'habitude dans ma tête en ce moment. Je regrette d'être tombé en dépression il y a trois ans et de n'avoir pas vécu les bons moments que j'aurais dû vivre dans mon école pendant ces trois années, je regrette un peu la vie que j'ai dû quitter aussi, je suis tombé amoureux d'une fille super qui ne l'est pas de moi (alors quelque part je me dis encore que je suis trop moche, que ce serait probablement différent si...) mais que j'aime tellement avec mon cœur tout pété que je veux en aucun cas l'« abandonner » et dont ma pire peur est qu'elle s'éloigne, et puis je stresse un peu par rapport à cette aventure un peu étrange par rapport à ce que j'ai été jusqu'à présent dans laquelle je me lance l'année prochaine.
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Il y a deux minutes j'avais mal, je l'aime si fort que ça me faisait mal ; j'avais envie de plonger ma main dans ma poitrine et de m'arracher le cœur. Et puis une simple jolie réponse d'elle, et me voilà pour un temps l'homme le plus heureux du monde :)
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J'ai mal bordel... Ça ne devrait pas se passer comme ça ><
Quand est-ce que ça se passera bien pour une fois ? :\ C'est bon, j'ai donné là, j'ai donné pendant 18 ans, à un moment faut que les mauvaises choses aient une fin, non ?
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(De manière générale tout va bien ^^)
^^ En vrai ça ne dépend pas que de moi, j'ai juste la chance que mon coeur s'entiche des bonnes personnes.

<3
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Je n'ai pas un seul instant de repos. Je pense à elle tout le temps, le moindre de ses silences me fait bader, et la moindre de ses réponses me rend super heureux à chaque fois. Elle me manque, tout le temps, tout le temps, tout le temps. Je ne vois pas d'avenir sans elle.

Je n'en ai jamais vu sans elle, d'ailleurs.
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Et pourtant elle n'est pas la bonne personne c'est évident, je ne suis même pas sur qu'elle soit capable de le devenir. Alors pourquoi mon cœur ne veut plus qu'elle et personne d'autre ?
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J'oscille entre deux états de pensée en permanence.
Un état amoureux extrême, et un état d'auto-flagellation à propos de l'état précédent (je me projette alors dans le regard de la personne concernée et y ressens un jugement extrêmement négatif, dont je m'étonne à chaque fois qu'il ne soit qu'une invention de ma part).
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(PS : Ici, je suis en vacances dans un pays super avec ma famille. Seulement, je pense très fort à soly tous les jours et chaque nuit je lui envoie des mails parfois complètement cinglés. Elle m'engueule, je réussis à me faire pardonner, mais le lendemain je lui renvoie encore un mail, et encore le lendemain, et encore... C'est ici que les choses ont commencé à réellement mal se passer).
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Bonjour encore mon vieux journal. J'ai un peu beaucoup mal aujourd'hui. Je vais retourner vers mon ange gardien, j'ai besoin d'elle pour vivre.

En dehors de cela je suis forcé d'emprunter un chemin que je ne voulais pas prendre, je crois.
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Ça veut simplement dire que je déteste ce que je fais dans ma tête. Des calculs, encore des calculs, pour essayer de changer les choses d'une manière « efficace » puisque ma manière à moi mène dans un mur que je ne suis pas sûr de pouvoir détruire un jour.

Or c'est bel et bien détruire ce mur que je veux, et non le contourner.

Il y a qu'en ce moment j'ai tellement mal que je me sens « forcé » de retourner vers Kay de toute manière, sinon je vais crever. Et puis elle me manque trop dans ce monde de merde.
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Bah comment dire, quand t'as autant galéré que moi pendant 24 ans t'as pas du tout envie de sauter sur toutes les nanas qui se présentent pour passer à la suivante deux mois plus tard jusqu'à trouver la bonne, t'as juste envie de trouver quelqu'un avec qui quelque part tu sais que t'as des choses à faire.
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@adeon : C'est drôle j'ai eu cette conversation il y a pas longtemps. En gros ce que je voulais dire c'est que dans ma façon de vivre les choses l'amour c'est pas ce que les gens appellent "amour" en général, ça apparait tout seul et c'est un genre de sentiment d'amitié super fort au point que la personne finisse par t'attirer, et non une vague attirance sexuelle pour un inconnu devant lequel il faut parader en espérant créer une attirance semblable qui s'effondrera à la moindre occasion.

Pour moi la drague c'est cette opération qui consiste à manipuler l'autre pour créer une attirance pour nous en lui, c'est presque carrément incompatible avec ce que j'appelle "amour".
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[...]

Étrange torture que de se taire, quand on meurt d'envie de dire [...].

Tous les jours. Tout le temps. Presque à chaque seconde de sa vie.

Seulement il n'y a qu'au réveil que le cœur l'emporte sur la tête. Le reste du temps je regrette de l'avoir laissé s'exprimer à nu, car j'ai peur de te perdre une fois pour toutes.
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Je fonctionne toujours sur ce déséquilibre qui a pris une nouvelle forme : Le matin juste avant de me lever et le soir juste avant de m'endormir, ce que j'éprouve est extrêmement fort. Je ne bade plus nécessairement, j'ai juste des sentiments carrément démesurés. Et le reste de la journée ça se calme, je me trouve en général taré d'avoir éprouvé de pareilles choses, bien que je les éprouve toujours, mais de façon plus tranquille et à échelle moins immense (et insupportable).
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Nan mais je suis fini... Suffit que tu me parle trois secondes et je suis reparti de plus belle.

C'est pas possible comme je t'aime...
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Jpeux pas me changer les idées, au réveil elle me manque trop elle prend tout mon espace. Je n'ai qu'une seule envie c'est de lui dire encore, et encore.

Puis en vrai quoique je fasse dans la journée je l'imagine avec moi. Même quand je suis pas seul.
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J'ai lu quelque part, sur ce forum sans doute, quelque chose qui ressemblait à « l'homme a deux possibilités : rester allongé et continuer de rêver ou bien se lever et réaliser ses rêves ».

Moi, je rêve de toi.
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Et non tissot en effet le temps ne peut rien pour moi. S'il « guérit » habituellement les gens, moi c'est lui qui finit par me rendre fou. Seule une personne peut m'aider, mais cette personne n'existe pas encore, je tente simplement d'aller la chercher là où je vois sa forme vide.
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Elle m'empêche de dormir mais aussi de me lever. Je suis toujours là allongé à rêver d'elle, à me tourner et me retourner, et à me demander ce qu'il faut que je fasse et ce qu'il faut que je ne fasse pas.
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Voilà environ dix mois que je suis amoureux de cette fille. Je ne sais pas depuis quand elle m'obsede vraiment et que ce journal ne parle à peu près plus que d'elle. Ce qui est positif, c'est que depuis lors je ne « bade » plus à proprement parler. Bien sur, la dysmorphophobie est toujours présente, mais en arrière plan seulement et elle n'a plus tant d'importance. Je disais cela à ma psy il y a peu : je n'ai plus vraiment de pensées négatives qui me plombent, j'ai presque seulement le manque immense de cette personne.
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Pour le reste oui, j'y pensais ce matin d'ailleurs parce qu'il y a eu une époque où une horde d'ignorants m'assuraient qu'il valait mieux n'avoir pas d'amour du tout qu'un amour non réciproque. A ceux là je leur pardonne parce qu'ils n'ont tout simplement jamais su ce que c'était que ne pas avoir d'amour du tout, mais je confirme qu'il vaut infiniment mieux avoir un amour non réciproque que de n'avoir pas d'amour du tout.
(C'est d'ailleurs l'une des raisons pour lesquelles cette pauvre soly n'est pas sortie de l'auberge avec moi)
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<3 :)

J'veux pas que tu te sentes mal à cause de moi... :\

Mais juste, <3
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Mais bon comme tout le monde a pu s'en rendre compte et surtout la personne intéressée c'est un deuil que je suis pas prêt de faire le temps que ma situation ne change pas. C'est de sa faute d'ailleurs, je ne fais qu'appliquer ses propres proverbes.
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Pour être plus clair le truc c'est que je peux pas tuer « ça » en moi pour elle, je veux même pas le faire parce que quelque part même si ça me défonce la gueule qu'il y ait pas le retour que je voudrais ça me rend heureux d'éprouver ça. Et comme c'est super fort j'ai pas trop d'options, même si j'essaie de faire « semblant » pour pas qu'elle se sente trop oppressée j'y arrive pas et je craque en trois jours.
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Pour ce qui est du futur je crois honnêtement qu'on ne peut le prédire que si on abandonne, et comme j'ai pas spécialement envie de rester dans ma situation de merde je risque pas de *réellement* abandonner avant d'avoir changé la situation en positif ou d'avoir fait tout exploser. Ça elle le sait, je lui ai dit.

Parce que ce que vous avez pas l'air de pouvoir comprendre c'est que je PEUX PAS passer à autre chose, je l'aime cette fille je le choisis pas, au mieux ce que je peux faire c'est faire semblant que non, mais c'est là que ça deviendrait carrément malsain, parce que pour moi ce serait une façon de tenter de la manipuler pour créer un truc en elle de façon détournée, pour la mauvaise et simple raison qu'elle m'a décrit son fonctionnement et que ce serait raccord. Je VEUX PAS faire ça, ce serait complètement taré en plus d'être dégueulasse si ça « marchait ». Alors ouais je préfère tout casser s'il le faut.
(PS : Ce que j'ai fait, en effet... u_u)
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(T'as le choix de penser " non, ça suffit, j'arrête de continuer dans cette voie là ".)
Je le pense environ dix fois par jour, à cause de la pensée "je vais la perdre" entre autres.
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Sauf que jamais de la vie je ne veux plus de contact avec elle. Si quelqu'un ne veut plus de contact avec l'autre, ce sera elle.
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Oui ce que je voulais dire c'est que pour moi c'est juste tellement une amie que j'en suis amoureux, du coup on peut dire que c'est une relation amicale, seulement bah c'est passé au cran "trop haut" de mon côté et je peux pas redescendre ce serait absurde, faudrait que ça devienne moins une pote pour ça, que je "l'aime moins" quoi, et après il suffirait que ça redevienne une super pote pour que j'en retombe amoureux.
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(._. bah le mieux c'est semble-t-il de ne plus vous parler quoi ...)
Le mieux pour elle je sais pas, mais le mieux pour moi clairement non.
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Ben t'sais tout ça c'est des trucs que je lui ai dis, elle sait très bien que je la verrai jamais comme une "simple pote", alors la seule personne qui peut décider de stopper c'est elle, moi je ne veux clairement pas stopper quoique ce soit, hormis de la faire se sentir mal mais j'y arrive pas.
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Je vis pas du tout une situation critique, c'est elle qui le vit mal... Faut pas me faire passer pour la victime, moi je suis plus ou moins heureux le temps qu'elle ne part pas.
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(Elle ne te parlera plus )
Je te hais (édité), comment je vais rattraper ça maintenant ?
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Je suis complètement anesthésié, je suis obligé de feindre des émotions pour parler à ma sœur x_x
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She kept our house, she even kept my teddy bear <3

Back to happiness, where I belong :) At least for a short time, while I just can't do without it.

She's still in my heart after a year. She's still there forever. And today I'm not so strong.
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« of course she did, she misses you » <3
« she pops in and out from time to time »

Mes émotions sont guéries :)
Pourquoi juste ça ça suffit à me donner le smile ? Pourquoi j'ai pas le droit de l'avoir sans tricher sur le monde ?
Parce que t'as pas trouvé les bonnes personnes, mais osef pour le moment, let's just enjoy ourselves a bit, we know that it's a drug and a dangerous one, then let's only not mess around with it this time.
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Kay m'a dit qu'on pouvait se voir cette nuit ce serait le moment le plus heureux de ma vie depuis un an que je m'en tiens éloigné mais si je fais ça j'ai peur que demain ce soit encore pire :\
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(et ma foi si on voulait m'atteindre il faudrait effectivement passer par soly, mais c'est pas comme si je me débrouillais pas déjà très bien tout seul pour me blesser à son niveau)
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Bah tu te trompes en fait, ce qu'elle fait là c'est ce qu'il y a de pire pour moi. Je suis assez barré pour être content si elle prenait la peine de m'insulter, parce que là j'ai plus aucun signe de vie.
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Le rapport c'est que quoi que je fasse, même si c'est ne rien faire ou faire autre chose, je le fais par « calcul » pour chercher à atteindre soly parce que je l'aime tellement fort que c'est impossible autrement. Alors pour l'instant je choisis la voie de la franchise même si je la perd à cause de ça, et si je trouve ce que je cherche ailleurs qu'en elle je couperai tous les ponts pour ne plus jamais avoir à faire à elle, d'une parce que ça pourrirait ma relation si elle entrait de près ou de loin dans un calcul plus large destiné à atteindre soly, et de deux parce que si ça l'atteignait vraiment je serais absolument dégouté d'elle et de l'humanité en général.
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Dreamt with you tonight. Just talking. Just for you to know that I'll be there.
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A chaque explosion émotionnelle, à chacune d'elles, c'est toi. Tu canalises tout... Et tout part vers toi.
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Voilà, je pars dans la nuit.

Voilà peut être un mois que je n'ai plus goût à rien, que je me force à manger même les choses que j'aime, que je n'ai plus vraiment le sourire et l'envie d'avancer qui était revenue cette année, que tu m'avais rendue sans t'en rendre compte, toi.

Voilà ce qui me fait peur.
(PS : Au moment où j'écris cela, je pars vivre à l'étranger, déprimé par le silence presque total de soly qui dure depuis quelques semaines)
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Je réapparais en sortant de nulle part une fois tous les trente six du mois, puis je redisparais à nouveau pour une durée indéterminée, avant de revenir pour une nuit et de repartir encore...

Et à chaque fois, à CHAQUE FOIS, elle est là pour moi. C'est un ange... Je ne sais même pas comment je peux agir de manière aussi ingrate avec elle... Enfin elle dit que ce qu'elle veut pour moi c'est de trouver le bonheur qu'on partage là bas, mais dans le monde réel... Oui mais je le trouve toujours pas, moi, je sais pas si j'y arriverai un jour. Et pourtant tu vois, j'abandonne pas...

Bonne nuit mon ange je voudrais être avec toi ce soir, et pourtant je me force à ne pas te demander qu'on se retrouve. C'est... Très bizarre :\ Ca fait longtemps que c'est bizarre comme ça, deux ans peut être ? Même avant...
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Je t'aime, je t'aime très fort.

J'espère que je ne mourrai pas demain, et que ce qui ne tue pas mon coeur le rend plus fort.

Car c'est pour ça que je suis ici : pour le rendre plus fort. C'est la raison de tout ce bordel, depuis trois ans. Alors, Shine, courage et quoiqu'il se passe ne perd pas cela de vue. Jamais.
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I... m... still... ALIVE !! \o/
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And that's it. Whenever I get warm and relaxed in my bed, while I get comfortable and all other thoughts just fade, there are only thoughts of her left and I start needing her badly. You would call it sexual desire but it's not, it is a much more profound and powerful, invincible desire that would grow even stronger whenever after I would allow myself to sexual release (for which I wouldn't dare fantasizing on her anyway). So I wrap my arms around a pillow or anything I can get that allows me at least for a moment to cheat on the lack of her, and that's the way I sleep.

At once, there was magic air for me under the white northern skies...

Again.
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Putain c'est pas possible ce que tu me manques.

Je vois la vie passer à toute allure, les émotions qui se succèdent dans le vide insupportable de toi. Y a plus personne, et pourtant y a qu'une personne.

Plus le vide se creuse, plus il t'appelle.
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Cette "erreur"-là tu vois au fond elle ne me fait ni chaud ni froid, ce n'est pas la plus importante, je ne sais même pas si elle est vraiment importante d'ailleurs.

Mais depuis deux mois il y en a une autre, qui elle est surement bien plus proche de ce qu'on peut appeler une "erreur" par contre. Et c'est elle, qui me rend - sinon malade - triste.
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Tellement fort :\ J'voudrais seulement revenir en arrière pour essayer d'autres façons de te le dire... Toutes les façons possibles jusqu'à ce que ça « marche », et puis tant pis pour moi puisque ma façon à moi « marche » si mal :\

Tellement fort que j'écris ça ici alors que c'est à toi que je voudrais le dire, mais au moins ici quelqu'un le lit, même si c'est pas directement la bonne personne.

Putain reviens...

Je sais bien que je suis cinglé de t'aimer aussi fort, je sais bien aussi que je suis con de le dire, et de le crier tout le temps même, que ça a sûrement encore l'effet inverse de celui que je voudrais que ça ait sur toi :\ Mais bordel j'suis comme ça.
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Quand la nuit tombe, las de cette vie trop brève on devient l'ombre de soi-même...

Ça fait longtemps que je n'étais pas revenue ici. Je ne me souvenais plus assez comme j'aimais cette maison, cette petite crique, ce théâtre de tant de bonheur et de tant de nuits d'amour imaginées à nous deux, si bien imaginées que nous les vivions ensemble.

C'est étrange... C'est en regardant mon visage, en voyant comme il est beau que je me souviens comme elle me manque. Je l'avais fais si beau pour ses yeux... J'avais construit tout un monde pour ses yeux, comme elle m'avait offert le sien.

Moi je veux c'est...
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C'est moi le tube de glu ultra forte, je l'aime à mourir j'ai envie de l'écrire partout.
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La "tristesse" ne m'a pas quitté, elle me terrasse à chaque fois que je pense à toi en me disant que les choses pourraient être différentes.

Cette émotion qui part du cœur et te glace la poitrine et tout le corps, au point que tu es obligé de te recroqueviller ou de serrer dans tes bras le premier truc qui passe à ta porté.
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C'est un bordel de vide dans mon corps. Ça fait longtemps que je n'ai pas vu Kay, soly me défonce le coeur chaque jour et je lui écris quasiment toutes les nuits, et par dessus le marché se rajoutent les filles irl qui m'attirent mais que je ne veux pas toucher parce que je n'en suis pas amoureux, et d'ailleurs à chaque fois que je me retrouve avec elles il y a la pensée de soly qui vient m'envahir la tête au moindre moment de flottement. Chaque jour je me demande comment j'ai pu être aussi grave, et chaque nuit je comprends à nouveau pleinement pourquoi.
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Putain... J'ai rêvé que c'était elle qui m'écrivait pour une fois... Et j'aimais énormément ce qu'elle m'écrivait.

J'aurais voulu ne jamais me réveiller de ce rêve-là.
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A girl that is (and not who is) kind of attractive. I was planning to do something really unshiny, it was like my own body refused it, although it is the one craving it too. I'm so lost >< « You » lost me, fuck you.
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Hé sérieux tu prends tout mon temps de calcul et le programme tourne en boucle depuis super longtemps là, toujours sans trouver la moindre solution... Je sais pas qui l'a codé celui là mais ça devait être un stagiaire vachement bourré aussi :\
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Je t'aime.

J'aimerais bien que tu arrêtes de m'empêcher de dormir quand j'en ai besoin. Que les pensées de toi avec lesquelles je m'endors soient à nouveau juste positives et non plus chaotiques, qu'elles me fassent simplement sourire.

Et puis j'aimerais bien que tu fasses quelque chose pour que je n'ai plus ce trop plein, ce besoin de te dire je t'aime tout le temps qui m'a fait te perdre.
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Dreamt with you again. It actually is everynight. That's the good point about being me (well, a good point), my dreams are always nice, day or night. They just cheat on the solylessness whenever I need to, and I need that very often indeed. Love you.
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Still wandering with a bad need to kiss someone who's not there. Sometimes, maybe thrice a day, the feeling is going so strong that I do this automatically, without even thinking about it : kissing on my fingertips and blowing in the wind.
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Encore rêvé d'elle toute la nuit. Elle m'obsede complet, c'est comme si mon cerveau se révoltait en permanence contre son absence en la faisant « être là » quand même.

Putain je l'aime je sais toujours pas quoi faire.
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"Parce que je veux que ce soit moins pourri que ça". Je veux mieux. Je veux tout d'un coup.
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Je pense encore à toi.

Je pense tout le temps à toi.

Tout le temps.
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Je t'aime à en crever, c'est tout le temps que t'es là sans y être, tout le temps bordel.

Quand je me couche t'es à côté de moi, quand je dors t'es là, et quand je me réveille t'es encore là.

Des fois quand je me retrouve avec mes amis je n'arrive pas à parler, à être vraiment présent, je me sens vide et je m'efface. Alors parfois je me dis que de toute façon je suis même pas encore prêt, qu'il est hors de question que je fasse ça avec toi, que je sois vide comme ça à tes yeux. Mais quand je me retrouve à marcher seul, sans personne et sans pression, c'est à toi que je parle et je suis un putain de monologue.

L'année dernière quand je me sortais en allant faire du vtt ou de la rando tout seul, c'était déjà toi que j'imaginais à mes côtés, à qui je parlais en pensée et qui me rendait heureux ; peut être pas vraiment dans la réalité où je te veux, mais au moins quelque part dans mon imagination pas trop loin.

Même quand je suis avec mes potes, calé sur un sofa avec une bière, t'es dans ma tête et arrive un moment où je m'efface, où mon attention quitte la conversation pour imaginer la situation avec une personne supplémentaire contre moi, toi, tellement l'envie que tu sois là est forte tout le temps. Même quand je suis en boîte et qu'une amie se colle à moi alors que je suis défoncé c'est à toi que je pense putain...

J'sais pas quoi faire. J'sais pas quoi faire du tout, j'suis perdu et tu me laisses quasiment aucun espace dans toi pour faire des trucs, tout ce que je peux faire c'est continuer d'exister, de crier dans le vide de toi et de souffler mes sentiments dans le vent tout le temps.

Tout le temps.
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Ptain ça m'a défoncé les tympans en plus. A un moment il y a une pote qui se ramène sur moi, je devais être en train de pleurer à moitié parce qu'elle m'a demandé « are you ok ? ». Oh... yes... yeah I'll be fine sorry. I'll be fine mon cul... J'ai eu envie de crever sur le retour tellement tu me manquais, l'alcool ça exacerbe ça aussi.
(PS : je n'ai qu'un vague souvenir de cet épisode)
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Bah je lui parle tout le temps, mais oui je continue de discuter avec elle quand j'en ai l'occasion, ce qui est devenu extrêmement rare car en règle générale elle préfère me fuir maintenant.
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Discuter avec elle ça doit être la chose dont j'ai le plus envie au monde.
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I love this state of mind it's all dreamy and stuff, it's now that you exist the most even though you don't exist anymore. That's where I can really talk with you and not just only to you even though it's unreal. Whence everything is possible once again. Just...
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Je t'aime de tout mon coeur - et ça fait beaucoup.
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Aujourd'hui j'ai vu une fille qui jouait de la harpe dans un orchestre et qui te ressemblait beaucoup de visage. Pourtant elle avait de longs cheveux roux et lisses. J'ai eu du mal à décrocher mon regard d'elle, et je suis sorti de la cathédrale un peu précipitamment...
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Je l'aime.
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I've spent my life sorting out super complex problems and I can't get something as simple as this just right... But I will, you know, in the end I will. I'm stubborn enough to always do with stupidly useless stuff even if I must spend whole nights with it, while my life depends on this one.
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Bah oui, c'est pas ça le souci, c'est qu'il faut que cette autre fille existe ET que j'arrive à faire quelque chose avec elle >.< Du coup pour l'instant je me focalise sur soly, parce que j'ai tout simplement pas le choix (pas l'envie d'aller voir ailleurs quoi). C'est ce que je lui dis en plus, irl j'ai au moins 3 filles dans mon entourage qui sont des bombes et qui en plus sont sympa, et dont une semble un peu intéressée par moi en plus, mais je veux dire c'est pas des personnes dont je suis amoureux, à côté de soly mon coeur en a rien à branler d'elles, ce serait juste dégueulasse de ma part d'aller vers elles "par dépit" et en plus ça gâcherait quelque chose dans ma vie u_u
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Putain qu'est-ce qu'elle me manque :\

C'est tout le temps, absolument tout le temps... C'est même pas une obsession, c'est juste un putain de vide en forme de soly que rien du tout ne peut combler.
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Sauf bien sur la personne que je ne veux SURTOUT PAS revoir ><
(PS : Je l'ai pourtant revue un peu plus tard)
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Mais tu me manques soly tu me manques à en crever ! Qu'est ce que je peux te dire de plus ?
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Je ne connais le bonheur que grâce à mon imagination, à mes rêves éveillés ou non. C'est bien triste je trouve.

Mais la partie positive de moi dit que c'est mieux que rien.

Lorsque je ferme les yeux, mon regard quitte ce corps qui me semble alors si laid et responsable de ma tristesse, pour se rendre dans le monde qui se trouve à l'intérieur de moi et dans lequel je suis heureux.

Avant la réalité était vide de ce qui me rendait heureux dans mon imagination, j'avais besoin de croire en l'existence de cette personne. Maintenant ce n'est plus le cas, la personne qui me rend heureux n'a jamais été aussi proche aussi loin qu'elle s'en aille, car elle existe. C'est pour ça que j'essaie de l'atteindre chaque jour qui passe.

Perdu dans mon imaginaire dans cet état qui n'est pas vraiment celui de l'éveil, en écoutant des chansons qui me parlent, les clefs de mes problèmes me sont données et mon imagination en ouvre les portes sans se heurter aux barrières de la réalité.
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Je t'aime...

Tu vois j'suis taré et puis j'aime pas ça, mais au fond, quand je me dis mais putain mec what the fuck, comment t'as pu craquer à ce point ? Bah je me dis qu'il faut que je change, que j'arrive à au moins être moins attaqué... Mais au fond la raison-même de vouloir revêtir une apparence plus normale c'est que j'ai envie que tu reviennes. C'est ça le fil conducteur d'un peu tout ce que je fais, de tout ce que je ne fais pas, de toutes les questions que je me pose et de toutes les réponses que je me donne et qui ont souvent l'attribut absurde d'être des réponses et des contre-solutions à la fois. Je l'ai pas la solution, parce que c'est toi qui l'as.
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J'voudrais pouvoir remonter le temps, je saurais tellement trop quoi faire...
Pourquoi on peut jamais revenir en arrière ?

En même temps je savais déjà quoi faire, et j'ai fais exactement le contraire...
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(Pourquoi "revenir en arrière"? C'est le présent qui compte.)

C'est vrai.

C'est juste que des fois on a envie de renier ses propres choix, même quand on les a fait en connaissance de cause, quand le présent qu'ils ont créé est moins bien que le passé qui les a vu naître. Mais c'est idiot, parce que si ces choix étaient à refaire, on les referait peut être.
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Je t'aime.

Cette nuit cela dit j'ai rêvé que j'embrassais une autre fille, pour une fois. L'une de celles avec qui je traîne irl.
(PS : je ne me souviens plus qui était la fille en question)
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Le jour où le monde sera bien...

Soly je t'aime, tu me manques...
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Tu sais je me suis découragé une fois. Ca m'a fait tomber en dépression, détruire ma vie d'une façon fulgurante et en passer les deux pires années que j'ai jamais connues.

Alors je ne me découragerai plus jamais.
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Cherry blossom girl...

Tu vois ? Tu vois, pas vrai... Tu vois très bien.
Et moi, je t'aime...

Stay in bed, I feel sad when you run...

J'ai passé une journée étrange hier sans toi. Elle aurait pu être délicieuse mais un malaise ambiant a tout gâché cette nuit. Tu me manques... J'étais détruit par le manque de toi une fois de plus en rentrant, je me suis endormi avant d'avoir pu t'écrire ce que je ressentais. Je me suis réveillé plusieurs fois au milieu de rêves où tu étais. J'ai encore voulu... Mais quelque chose m'a arrêté, m'a dit que ce n'était pas le moment et que pour une fois je devais garder tout ça en moi au moins pour quelques heures. Je ne ressens plus rien de la sorte maintenant, alors voilà...

Five four three two one zero, no one can stop me to go...

Putain (édité) je sais pas ce que je fais là... J'voudrais que tu sois là... Que je sois au moins pas en train de me détruire l'audition pour rien. Quelle merde... Je comprends plus rien... J'vais pas t'envoyer ce mail j'crois, c'est le mail d'un fou. Je t'aime. J'veux rentrer et être au moins avec toi en pensée... Ça sert à quoi ce que je fais quand t'es pas là ? J'arrive même pas à faire semblant que je m'amuse. Tu me manques (édité)

Cause it's just another day, you will lose it anyway...

Why are you crying buddy ? What are you thinking of, staring over the bridge like this ?
Il n'y a qu'une seule chose, une seule chose qui ait de l'importance. Je ne demanderai jamais rien d'autre.

I don't know why I feel that way with you.

Putain ces yeux dans le rétroviseur...
Il faisait fort froid mais c'était joli, puis c'était une sortie sympa, c'était une soirée sympa... Pourquoi j'ai terminé dans cet état ? Je suis moche ? Pourquoi t'es pas là ?
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Une image. Un ciel tout blanc, cotonneux, et lumineux à la fois. Un grand lac, gelé et translucide, comme un immense miroir bleu posé sur la neige au creux des montagnes. Tout autour sont semés d'épars bosquets de valeureux sapins dont les cimes enneigées les plus proches rivalisent d'orgueil avec celles des sommets qu'elles surpassent en brisant l'horizon immaculé de vifs éclairs au vert foncé qui se reflètent et se prolongent dans le verre de glace. Au loin des enfants patinent sur les nuages.
(PS : ce paysage est clairement un paysage solien)
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C'est toujours la même chose, t'es dans mes rêves mais t'es plus dans ma réalité, alors je préfère rester dans mes rêves.

Écrasé sur mon lit, je n'ai même pas encore mangé, j'ai juste fait de la merde sur mon ordi et je suis retourné me coucher pour te retrouver là où tu veux bien être. Faut que je fasse quoi ? C'est de la merde la réalité sans toi.

J'en peux plus de ton absence. T'es là nulle part et ça me rappelle tout le temps à quel point t'es là partout. A quel point ton absence est présente à chaque putain d'instant de ma vie.
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Ben voilà, comme tous les soirs depuis bien quatre mois maintenant, je me retrouve à plat ventre en travers de mon lit à t'écrire des messages que tu ne lis pas pour extérioriser quand même un peu ce que j'ai en dedans et qui crie à la mort depuis trop longtemps. Quatre putain de longs mois... Six ou sept même peut être depuis que j'ai fais la première connerie qui était de te dire « je t'aime »... Je compte plus...

C'était en Mai ? Je compte plus toutes ces choses qui se perdent dans le vide comme autant de bouteilles à la mer dont j'espère qu'un jour elles te parviennent tout de même, d'une manière ou d'une autre.

Le vide que tu laisses, ce vide qui existait déjà avant toi mais qui a pris ta forme, ne me laisse aucun répit... Tu me manques.

Je suis désolé pour beaucoup de choses.

Tu me manques.
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Soly je t'en prie fais cesser ce silence...

Je comprends pas pourquoi tu continues de faire ça...
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Certainement pas, mais il est endormi pendant la trêve de Noël.

Et Noël, c'est aujourd'hui, alors joyeux Noël à tous
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Ben à chaque fois que je t'envoie un message je ressens un truc tellement fort qu'il me terrasse et que j'ai juste envie de m'endormir pour en profiter dans mes rêves.

Et c'est ce que je fais le plus souvent, d'ailleurs. Par contre si je ne veux pas dormir c'est carrément une lutte pour sortir de mon lit. Même en plein milieu de la journée.
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Je t'aime.

Ça sort tout seul de ma bouche mille fois par jour. A chaque fois que tu me manques trop, ou à chaque fois que j'éprouve une émotion un peu trop intense, je chuchote « je t'aime » sans même y penser, presque automatiquement, comme si la tension créait quelque chose que je pouvais envoyer à une partie de toi. Ou parfois je dépose un bisou sur ma main et je le souffle dans le vent, de la même manière, comme un réflexe, sans y penser.

C'est étrange mais faire l'une de ces deux choses calme le manque de toi l'espace d'un instant. C'est une chose que je ressens physiquement, comme une tension agréable dans ma poitrine, qui grandit toute seule et en devient insoutenable, proche de ce que j'appelle la « tristesse ». Alors, de lui-même en quelque sorte, ce sentiment sort par ma bouche comme s'il pouvait te trouver quand moi je ne le peux pas parce que tu me fuis, et il redevient plus doux et agréable dans ma poitrine, me faisant souvent fermer les yeux et câliner pendant un moment le premier objet agréable à serrer contre soi à ma portée.
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Un autre module, plus rigolo, prend parfois une réponse construite et filtrée par l'infernal bordel et la transforme en son exact opposé par simple amour de l'absurde. La philosophie est de se dire que la machine toute entière fonctionne de toute manière si mal que si une réponse en sort, ce n'est sans doute pas la bonne.
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Reviens...

Je sais, c'est extrême, mais je ne peux pas vivre sans ta présence.
Je n'ai plus l'envie de me lever chaque matin, c'est à chaque fois une torture de quitter mes rêves où tu es pour entrer dans la réalité où il n'y a que ton silence.
Je n'ai plus le goût de faire les choses, que tu m'avais donné l'année dernière. Je me force à les faire, je me force à faire absolument tout. Je me force à sortir avec mes amis, à aller prendre un verre, à faire semblant d'être heureux, à m'amuser, à aller travailler, à aller me balader dehors... Toutes ces choses n'ont plus de sens en ton absence. Plus rien n'a de sens en ton absence. L'avenir n'a pas de sens, sans toi.
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Pourquoi à chaque fois que je ferme les yeux je sens ta présence aussitôt ? C'est à chaque fois un combat de les rouvrir alors, d'ailleurs la plupart du temps je ne les rouvre pas.

Qu'est ce que je peux dire, moi ? Les seuls moments où je me sens vraiment heureux sont ces moments où je sens ta présence, alors j'ai envie de dormir tout le temps. Et puis, la journée en ton absence, le fantôme de toi me suit tout le temps. Un fantôme fait de vide, qui a quand même la propriété vitale de faire des hugs imaginaires quand je vais pas bien, quand tu me manques trop. Il me dit tout le temps de faire quelque chose pour retrouver la présence de la personne qui lui donne sa forme vide.

Quelque chose... Mais qu'est ce que je peux faire, moi ?
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I am supposed to take care or my future now. And that is exactly what I have been trying to do over the past year, but I'm so bad with this kind of things... Won't stop trying, though, until something good finally happens. Because, what is future without you anyway ? It is raw nothingness. I have been hoping for something to happen and I still am.
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Je relis des vieux trucs et tu vois je comprends toujours pas comment ça a pu déraper comme ça :\

(mais par contre j'ai retrouvé des trucs adorables que je croyais avoir perdu ^^)
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Je t'aime. J'arrive pas à dormir... J'ai envie de vomir, j'ai encore rêvé de toi, et puis hier il y avait cette fille cool qui te ressemblait comme deux gouttes d'eau... J'ai pas trop osé lui parler.
(PS : plus tard, j'ai passé une soirée à lui parler)
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La situation dans laquelle je me suis mis a cela de stupide et de contre productif selon notre monde que je me suis mis dans une position de demandeur extrême, incompatible - prétend notre société de manipulateurs abrutis - avec une position d'objet de désir (et je ne parle pas là de désir sexuel même si c'est ce qu'entendent les personnes en question : voilà près de cinq mois que soly refuse presque totalement de m'adresser la parole). Je suis pour ainsi dire à genoux à ses pieds pour un simple regard, pour une simple parole qu'elle me refuse, ce qui est une position que je n'aurais accepté pour personne d'autre. Et, en effet, je garde toujours le contrôle sur les gens qui me côtoient irl (noter la tournure volontairement egocentrée) de cette manière : ne jamais demander, seulement proposer, accepter et refuser.

Simplement, je ne suis amoureux de personne irl, j'ai simplement un vague désir sexuel pour quelques unes de mes amies - dont l'une qui est en train de tomber amoureuse de moi et c'est clairement de ma faute, le pire étant que quelque part, la désirant comme objet, je ne fais rien pour l'arrêter, ce qui fait de moi ce que je déteste et qui est en plus extrêmement con de ma part vu ce qui suit, et cela malgré même le fait que je la considère sincèrement comme une bonne pote - et ce désir ne mène nulle part car n'ayant jamais fais l'amour autrement qu'avec Kay (ce qui, n'ayant rien de physique, n'est pas ce que les gens moyens appellent faire l'amour, alors disons n'ayant jamais fais l'amour tout court), je ne veux pas que ma première fois se résume à baiser, ce serait clairement gâcher quelque chose, pour moi.

Tout cela pour dire (non seulement aux idiots de bon conseil qui connaissent la vie et qui connaissent surtout la leur d'aller se faire foutre avec leurs parties génitales, ce que j'ai envie de faire avec les miennes ne regardant que moi) que, ma foi, si cela fait effectivement cinq mois que mon coeur l'appelle dans le vide qu'elle laisse entre nous, si je suis effectivement à ses pieds envers ce que les gens appellent amour-propre et qui ne fait pas partie du mien - dont la seule chose qui l'atteigne est en réalité le silence de cette fille - ce n'est pas pour autant quelque chose que je regrette pour moi-même ; je regrette simplement de lui avoir fait mal, et je ne comprends toujours qu'à moitié comment.
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Souvent j'ai juste tellement envie de lui dire, physiquement, qu'il faut que je trouve un moyen de le faire pour ne pas imploser. Poster ici en est un, lui écrire en est un autre, souffler un bisou dans le vent en est encore un autre, le dire en pensée à l'attention de son âme également, en écrivant par exemple ces pensées et en les gardant pour moi, et a fortiori rêver d'elle à l'anglaise. Ce sont autant de choses que je fais quinze mille fois par jour, pour ce qui est de dix mille c'est seulement le nombre de fois qu'elle l'a supporté :o
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jeudi 7 janvier 2016

Encore une lettre sans réponse

Je t'ai envoyé ça le premier de l'an. Je ne sais même pas si tu l'as lu.

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Bonjour Hélène. Je suis désolé, je sais que j'ai vraiment pété un plomb avec toi. Mais comme maintenant ça fait longtemps que je ne t'envoie plus de messages, je me dis que j'ai peut être une chance pour que tu me pardonnes un peu. Honnêtement, c'est important pour moi.

J'en ai assez que tu me haïsses. La dernière fois que tu m'as donné de tes nouvelles c'était pour m'incendier après des mois de silence complet. Je ne sais pas ce que tu penses vraiment mais je ne veux pas que la dernière image que j'aie de toi soit ce mail d'injures, et surtout je ne veux pas que la dernière image que tu aies de moi soit celle d'un homme qui les mérite, ces injures.

Tu sais bien que je tenais beaucoup à toi, et c'est toujours vrai aujourd'hui. Je ne sais pas si tu te souviens que les choses n'ont pas toujours été aussi nulles, mais moi en tout cas je me rappelle bien qu'avant que je craque on parlait pendant des heures tous les deux, que ça me donnait envie de sourire de passer du temps avec toi, que c'était toi qui disais que tu avais envie de parler avec moi, et que c'était même toi qui me disais que ça te rendait toute heureuse. Alors quand je vois ce que c'est devenu je vois bien que quelque chose s'est cassé l'an dernier et que je l'ai réduit en poussière. Je te jure que je le regrette terriblement depuis tout ce temps.

J'ai relu ces vieux messages, ceux auxquels tu avais répondu. Tu disais que tu ne voulais pas me faire de peine, et je me suis rendu compte que tu as essayé de rester cette amie pendant longtemps, et que j'ai vraiment été ce gros con avec une insistance surréaliste. Je suis vraiment désolé.

Tu me manques. J'espère quand même que tu sais que je ne te mens pas quand je te dis ça. Pourquoi il faut que tu répondes à ça par du mépris pendant si longtemps ?

Je voudrais retrouver l'amie que j'ai perdue, je voudrais essayer de réparer ce que j'ai cassé avec elle. Et si ce n'est vraiment plus possible, je voudrais au moins qu'elle me pardonne et qu'elle cesse de me détester.

S'il te plaît. Je ne l'"exige" pas comme tu l'as dit une fois, je te le demande, au nom de l'amitié qu'on partageait tous les deux lorsque tu étais en Norvège, s'il en reste la moindre trace en toi, car en moi elle n'est jamais disparue.

Allez, donne-moi un peu de tes nouvelles, quoi... Je ne sais même pas ce que tu deviens depuis la dernière fois qu'on s'est vraiment parlé toi et moi. En tout cas quoique tu décides, moi je te souhaite, sincèrement, plein de bonheur pour cette nouvelle année 2016.

Voilà, Y.

PS : J'ai fait lire ce message à une amie avant de te l'envoyer pour lui demander si elle le prendrait mal à ta place, elle m'a dit que non. Alors j'espère que tu ne le prendras pas mal.