Ça fait quelques jours que je n'arrête pas de t'écrire des courriels que je jette ensuite au lieu de te les envoyer. J'ai tout le temps peur d'empirer la situation, vu que c'est ce que j'ai l'impression de faire quasi-constamment avec toi. J'aimerais vraiment que tu me parles à nouveau.
L'année dernière j'étais content que tu répondes à mes messages. Bien sûr, je me contente de trop peu mais enfin, ce n'est pas mon choix, c'est le tien. L'époque où c'était toi qui venais me parler tout le temps me manque beaucoup. Tu me manques beaucoup.
J'essaie, depuis longtemps, de te donner envie de me laisser une chance. Ne serait-ce que de me reparler quand tu seras à nouveau célibataire, si tu es toujours avec le collègue dont tu m'as parlé la dernière fois. Mais pour l'instant, si dans la vie je cours comme un guépard, avec toi j'avance vraiment à pas d'escargot.
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