Tu as tellement tout détruit, tu as fait tellement de mal... Et pourtant je t'aime tellement.
Tu savais aussi ce qui allait se passer, c'était évident pour tout le monde, comment as-tu pu me faire croire que ce n'était pas évident pour toi ? Tu n'étais pas aveugle, Hélène, tu savais que si nous passions tout ce temps ensemble, si tu me parlais d'amour, si tu me disais que tu trouvais que j'avais un joli coeur et que tu espérais que personne ne le brise jamais, si tu disais que tu étais heureuse avec moi, alors que tu savais très bien que je manquais désespérément d'amour, j'allais tomber éperdument amoureux de toi : c'était évident... Alors comment tu as pu me reprocher de l'être autant ?
Quand on regarde les choses mises bout à bout on dirait presque que tu l'as fait exprès, que tu t'es foutue de ma gueule... Et pourtant...
Je t'aime Hélène. Personne ne t'aimera jamais comme je t'aime.
Encore aujourd'hui, tu vois, je suis prêt à tout changer pour te plaire. Si seulement je savais comment faire, si je savais ce qu'il me "manquait" pour que tu sois tombée amoureuse de moi comme je le suis tombé de toi, je ferais tout, absolument tout pour l'obtenir. Comment tu peux ne pas le voir ou t'en foutre ? Comment tu peux être devenue comme ça, toi mon ancienne amie et confidente, toi qui étais si adorable, toi la seule fille que mon coeur aime réellement dans ce monde ? Tu étais un ange, un putain d'ange sorti de nulle part, j'ai cru en toi comme je n'ai jamais cru en personne d'autre dans ce monde à la con.
Regarde-moi... Après tout ça je crois toujours en toi... Toujours...
Et puis tu flingues toutes mes relations avec les filles sans même être là. Tu me diras avant toi je n'osais même pas aller vers les filles, mais maintenant que ça va mieux de ce côté là j'en ai quasiment rien à foutre de celles qui se collent à moi parce qu'à côté de toi elles ne veulent rien dire putain...
Ouvre les yeux. S'il te plaît. Je t'aime je te le jure. Je te veux pas de mal...
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